Le segment des SUV urbains connaît un succès immense. Pour les constructeurs automobiles, c’est même la poule aux œufs d’or. Chez Renault, le Captur de seconde génération a été commercialisé à partir de janvier 2020. C’est un modèle abouti et plutôt intéressant sur le papier, avec un volume de vente très satisfaisant. Seulement, la concurrence est plus forte que jamais et la marque au losange a actualisé profondément ses codes stylistiques peu de temps après. En avril 2024, Renault a donc dévoilé le restylage de son « petit » SUV à succès. Pour l’occasion, il bénéficie de quelques améliorations, à commencer par une version Esprit Alpine, qui offre un tempérament plus sportif ainsi qu’un moteur Full Hybrid de 145 chevaux. Nous avons essayé ce modèle pendant une semaine et près de 1 500 kilomètres.
Fiche technique du Renault Captur Full Hybrid 145
| Dimensions | 4,23 x 1,79 x 1,58 mètres |
| Poids | 1 370 kg |
| Transmission | Traction |
| Boîte de vitesses | Automatique, 6 rapports (4 en essence, 2 en électrique) |
| Commercialisation | Depuis 2024 |
| Moteur | 4-cyl. atmosphérique 1.6 litre 91 ch. Moteur électrique de 69 ch. |
| Puissance | 145 chevaux à 5 600 tr/m |
| Couple | 250 Nm de 3 200 à 3 600 tr/m |
| 0 à 100 km/h | 10,6 secondes |
| Vitesse maximale | 170 km/h |
| Puissance fiscale | 5 CV |
| Consommation | 4,6 L/100 km |
| Émissions de CO2 | 105 g/km |
| Prix du neuf | Dès 34 300 € |
Un restylage indispensable
Avec 45 961 voitures vendues, le Renault Captur a été le cinquième modèle le plus vendu dans l’hexagone en 2024. Une place honorable qui permet de bien comprendre l’importance du segment B-SUV pour les marques. Bien née, la seconde génération du Captur ne souffre pas de maux particuliers. Elle propose une gamme assez complète et donne accès à plusieurs énergies, couleurs et finitions. Seulement, le design du Captur 2 a été calqué sur celui de la Clio 5, avec un style dans la continuité, sans trait distinctif majeur. La sortie du Scénic E-Tech, en 2023, a totalement renouvelé les codes stylistiques de la marque, instaurant un nouveau logo, des feux de jour en demi-losange, des textures, du volume… Pensé avant la célèbre Renaulution, le Captur II avait assez mal vieilli… Si bien que le Peugeot 2008 lui a grillé la place en volumes de ventes.
Chez Renault, les restylages sont généralement assez discrets. Mais là, il fallait donner de l’identité au Captur. La face avant du Scénic a été adaptée sur le Captur, ce qui change profondément son image. On découvre également un nouveau capot, plus horizontal et paré d’un double renflement. Les optiques sont affinées, on retrouve aussi les feux de jour en demi-losange. En parallèle, la précédente finition R.S. Line quitte le catalogue puisqu’elle n’avait plus de légitimité depuis l’arrêt du programme Renault Sport.
Elle est remplacée par une finition Esprit Alpine. Des modifications assez radicales en apparence… Mais dans les faits, Renault n’a pas tout changé. Les changements sont même moins nombreux qu’ils n’y paraissent. L’illusion est pourtant bonne et cela a permis de créer un bel engouement envers ce SUV long de 4,23 mètres… Qui compte bien reprendre la place de leader du segment, devant le Peugeot 2008. Cette version Full Hybrid a bien du mérite sur le papier…
Le Captur a (enfin) de la gueule
Le Renault Captur Full Hybrid de seconde génération s’offre une face avant entièrement redessinée… On découvre le nouveau logo de la marque, qui trouve sa place au milieu d’une calandre arborant des motifs en dégradé. Les jeux de profondeur permettent de totalement métamorphoser le petit SUV de la marque. On trouve aussi de nouvelles optiques, avec des projecteurs Full LED disponibles de série, dès la finition d’appel Evolution. C’est moins visible mais on trouve aussi un nouveau capot, avec deux renflements sur les extérieurs, ce qui donne un design plus sportif et apporte des volumes. Le pare-chocs évolue aussi avec de nouvelles lignes. L’élément le plus remarquable, ce sont les feux de jour en forme de demi-losange. Cela donne clairement de l’identité… Notons aussi l’aération en partie basse qui surmonte un insert couleur aluminium. Des traits assez techniques mais bien esquissés, qui donnent du volume et des textures.
Alors forcément, ces évolutions stylistiques divisent un peu… Certains vont regretter le style passe-partout de la première phase tandis que d’autres apprécient cette prise de caractère. Tout est question de point de vue. Notre modèle d’essai arbore la finition haute Esprit Alpine, qui se veut plus sportive dans sa présentation. Elle s’identifie à ses badges Alpine au niveau des ailes avant ainsi qu’à la présence de jantes alliage de 19 pouces : une première pour un Captur ! En option gratuite, pour préserver davantage le confort, une monte de 18 pouces est disponible. De profil, pas d’évolution majeure. À l’arrière, les évolutions sont tout aussi subtiles puisque l’on notera seulement l’apparition du nouveau logo et de nouveaux feux translucides, avec un fond noir… Et plus subtil encore : le faux diffuseur a été redessiné.
Une gamme allégée : la fin du diesel
Le Renault Captur phase 2 a été l’occasion de revoir la gamme. Côté finitions, Evolution constitue toujours l’entrée de gamme. Elle offre désormais de série le système multimédia OpenR Link avec une dalle de 10,4 pouces mais il faudra passer sur la finition intermédiaire Techno pour y ajouter les services de Google, le chargeur de smartphone à induction, les jantes alliage de 18 pouces ou encore le démarrage mains-libres. La finition Esprit Alpine, qui succède à R.S. Line, apporte les jantes de 19 pouces, les badges distinctifs, une sellerie spécifique, divers éléments de style à bord ainsi qu’une lame avant gris Schiste à l’avant.
Du côté des moteurs, un grand ménage a été fait. Le diesel quitte le catalogue, au même titre que le 1.3 TCe mHEV de 140 chevaux. Le 1.3 TCe mHEV de 160 chevaux a connu un passage très éphémère dans la gamme… Actuellement, seuls trois moteurs sont donc disponibles : le moteur Eco-G de 100 chevaux en entrée de gamme (compatible GPL), le 3-cylindres 1.0 TCe de 90 chevaux et enfin le moteur Full Hybrid de 145 chevaux que nous avons ici à l’essai. Une restructuration qui permet de simplifier l’offre. Aussi, la couleur proposée de série est le rouge Flamme sur le Renault Captur Full Hybrid restylé. Comptez un supplément de 650 à 800 € pour une autre peinture métallisée ou nacrée. Allongez encore de 450 € pour avoir le toit d’une couleur contrastante.
| 1.0 Eco-G 100 | 1.0 TCe 90 | E-Tech Full Hybrid 145 | |
|---|---|---|---|
| Carburant(s) | Essence/GPL | Essence | Essence |
| Boîte de vitesses | Manuelle 6 | Manuelle 6 | Automatique 6 |
| Puissance | 100 ch. à 5 000 tr/m | 90 ch. à 4 500 tr/m | 145 ch. à 5 600 tr/m |
| 0 à 100 km/h | 13,0 secondes | 14,3 secondes | 10,6 secondes |
| Conso. mixte | 6,1 L/100 km | 5,8 L/100 km | 4,6 L/100 km |
| Émissions de CO2 | 119 g/km | 132 g/km | 105 g/km |
| Prix de base | 26 100 € | 26 600 € | 29 700 € |
L’intérieur du Renault Captur Esprit Alpine
À bord du Renault Captur restylé, les évolutions sont nettement plus subtiles. Au centre du volant, on remarquera logiquement le nouveau logo de la marque. L’écran tactile central, toujours implanté à la verticale, dispose désormais d’une diagonale de 10,4 pouces sur toutes les finitions (9,3 pouces avant). Cette interface dispose des services de Google dès la finition intermédiaire Techno. Il y a aussi la prise en charge d’Apple CarPlay et Android Auto sans fil. On perd également les trois boutons au profit de touches plus conventionnelles. L’ergonomie reste plutôt bonne dans l’ensemble, avec une bonne réactivité du tactile et des commandes plutôt bien disposées dans l’ensemble. Mention spéciale pour l’immense boîte à gants et les ports USB type C accessibles aux places arrière.
La finition Esprit Alpine apporte un bandeau bleu, avec une finition façon aluminium brossé. C’est un bel élément qui contribue à la bonne qualité perçue de l’ensemble. Les ajustements sont dans la bonne moyenne. On appréciera aussi les différents jeux de texture et l’application du drapeau français a plusieurs endroits au niveau de l’habitacle. Le Renault Captur restylé reste pourtant fabriqué en Espagne, au sein de l’usine de Valladolid. La planche de bord reste proche de celle de la première phase du Captur. Sur la gauche du conducteur, on trouve toujours le Safety Switch, qui permet de désactiver d’un seul appui les aides à la conduite. Pour éviter les éternels bips, c’est presque un incontournable…
Esprit Alpine, es-tu là ?
Pour le coup, l’Esprit Alpine se matérialise assez timidement. On découvre des sièges un petit peu plus enveloppants à l’avant. En toute logique, ce sont les précédents sièges R.S. Line qui ont été rhabillés. On trouve de nouveaux des jeux de texture, avec un TEP vegan matelassé, une double surpiqûre blanche et bleue et des appuie-têtes en forme de virgule. Rien de transcendant donc. Les réglages sont toujours manuels, à l’aide de molettes sur les côtés. Là encore, c’est relativement fréquent sur ce segment, du côté des constructeurs généralistes. L’intérieur du Captur a plutôt bien vieilli dans l’ensemble, il n’était pas nécessaire de tout changer. L’éclairage d’ambiance est assez timide. On aurait aimé que la marque aille plus loin en essayant de souligner davantage les formes et volumes. Point sympa : les ceintures de sécurité ont les bords bleus.
À l’arrière, on retrouve la banquette qui coulisse avec une amplitude de 16 centimètres. Le volume de coffre varie alors de 348 à 480 litres, ce qui est dans la bonne moyenne. L’espace aux jambes reste largement convenable à l’arrière. Naturellement, nous sommes sur un SUV urbain, la cinquième est à réserver en dépannage bien qu’elle ait l’avantage de ne pas avoir d’encombrement au niveau des pieds. D’une manière générale, l’intérieur du Renault Captur restylé est plutôt agréable, avec des finitions correctes dans l’ensemble. La dotation est aussi dans la bonne moyenne même si cette finition Esprit Alpine n’apporte pas de changements majeurs.
Full Hybrid : comment ça fonctionne ?
Renault dispose de plusieurs types d’hybridation, en fonction des modèles. Pour les Clio et Captur, il a été décidé de proposer une motorisation dite Full Hybrid. Notre Renault Captur E-Tech Full Hybrid dispose d’une conception mécanique peu commune. Nous avons tout d’abord un « vieux » moteur 4-cylindres atmosphérique d’origine Mitsubishi de 91 chevaux, couplé à une boîte de vitesses à crabots et 4 rapports. Un premier moteur électrique de 69 chevaux prend place au sein de cette boîte et dispose de deux rapports électriques. En parallèle, un alterno-démarreur permet d’assurer les phases de démarrage et peut (parfois) apporter un peu plus de puissance. La boîte de vitesses est gérée automatiquement ; les crabots sont actionnés directement par le moteur électrique. Cela apporte beaucoup de souplesse.
Nous sommes donc sur une conception mécanique assez inhabituelle, qui permet d’exploiter jusqu’à 145 chevaux de puissance et 250 Nm de couple… Tout en affichant une consommation, en cycle mixte, de 4,6 litres aux 100 kilomètres. Cela permet aussi d’échapper au malus écologique 2025. Par le passé, le Renault Captur avait été proposé avec une motorisation hybride-rechargeable mais celle-ci a été définitivement abandonnée. Désormais, l’unique proposition électrifiée (partiellement) revient donc à cette version Full Hybrid, qui est donc une motorisation hybride non-rechargeable. Elle fait appel à une petite batterie de 1,26 kWh et autorise à peine 2 kilomètres d’autonomie. Mais l’intérêt est ailleurs : la marque au losange affirme qu’il est possible de rouler jusqu’à 80 % du temps en mode 100 % électrique. Place au test.
Du confort et des économies…
Pour passer du moteur essence TCe de 90 chevaux à la version Full Hybrid de 145 chevaux, il faut prévoir un effort financier de 3 100 €. Une somme que l’on peut relativiser pour plusieurs raisons. Déjà, il y a la présence d’une boîte de vitesses automatique sur la version hybride, une consommation réduite jusqu’à 40 % en faveur également de l’hybride et la possibilité de rouler en mode 100 % électrique jusqu’à 80 % du temps. De belles promesses qui rendent cette version hybride séduisante. Et pour le coup, dès les premiers tours de roue, le silence de fonctionnement est très appréciable.
On retrouve naturellement la plateforme CMF-B qui profite de quelques améliorations, notamment pour la finition Esprit Alpine. Cette dernière est uniquement disponible avec notre motorisation hybride de 145 chevaux alors que ce moteur est disponible aussi avec les deux autres finitions. En Esprit Alpine, on bénéficie d’une nouvelle calibration de la direction assistée, d’une géométrie revue et de nouveaux réglages de l’amortissement. Dès les premiers kilomètres, on apprécie le bon feeling de la direction et la grande souplesse. Renault a bien travaillé aussi la dalle d’instrumentation qui renseigne en temps réel sur le type d’énergie utilisée. On découvre aussi le niveau de charge de la petite batterie électrique de 1,26 kWh. Celle-ci se décharge et recharge très rapidement et permet d’avoir toujours une réserve d’électricité suffisante.
Le saviez-vous ? En étant économe, l’autonomie du Captur E-Tech Full Hybrid peut aller jusqu’à 1 000 kilomètres !
Une gestion de boîte aux petits oignons !
Côté confort, rien à signaler. Malgré les jantes de 19 pouces, l’amortissement est dans la bonne moyenne du segment. À basse vitesse, on notera tout de même que les dos d’âne et autres irrégularités entraînent parfois des secousses assez fortes… À rythme doux, la boîte de vitesses se montre d’une grande douceur, elle se montre prévoyante et gère parfaitement les passages de rapport, sans montée inutile dans les tours… Hormis parfois lors de certaines phases de rétrogradage. L’insonorisation est aussi bonne.
En somme, ce Captur E-Tech Full Hybrid de 145 chevaux offre plutôt un bon ressenti. En ville, le moteur thermique n’est presque pas sollicité. C’est même bluffant de voir cette gestion électrique bien huilée, qui promet une grande souplesse et une consommation ridicule. Pour le coup, la promesse de rouler jusqu’à 80 % du temps en mode électrique me semble assez réaliste… Mais il faut se montrer très doux et anticiper au maximum. On profite alors du paysage et notamment de l’insonorisation tout à fait correcte pour le segment. C’est là que l’on profite pleinement de l’agrément du Captur hybride. Mais assez vite, on se lasse et on a envie de tester un peu le dynamisme. Erreur…
Un Captur économique… mais ennuyant
Une puissance de 145 chevaux dans un petit SUV de moins de 1,4 tonne, cela peut sembler confortable. Pour autant, le Renault Captur E-Tech Full Hybrid n’a aucunement été pensé pour être sportif. C’est même tout l’inverse. Ce modèle s’apprécie pour sa douceur de fonctionnement et sa faible consommation. Lorsque l’on essaie de hausser le rythme, les choses s’annoncent plutôt bien. Le 4-cylindres de 1.6 litre offre une assez belle sonorité mais on se trouve vite confronté à la lenteur terrible de la boîte, qui comprend assez mal ce qui se passe, même en mode Sport. Les décélérations sont encore pires, avec des montées dans les tours inutiles, parfois même à vitesse stabilisée. Côté freinage, c’est correct mais dans les virages en épingle, l’avant a tendance à s’écraser, ce qui casse le rythme et engendre un sous-virage excessif. La monte en Continental EcoContact y est peut-être pour quelque chose…
Côté performances, le 0 à 100 km/h est réalisé en 10,6 secondes. Ce n’est pas exceptionnel mais suffisant pour le quotidien. Seulement, l’ensemble est désespérément linéaire, ce qui enlève vraiment le plaisir de conduite. Nous avons souvent eu l’impression de ne pas avancer tant le moteur ne délivre pas de sensations. Et ça se comprend… Un moteur atmosphérique cherche sa puissance haut dans les tours tandis que l’électrique dispose surtout de couple à bas régime. Une alchimie idéale pour une conduite lisse mais difficilement conciliable dès que l’on veut hausser le rythme. C’est un peu frustrant mais Renault a sans doute fait le meilleur choix en misant sur l’efficience…
La touche ESAVE, présente à gauche du volant, permet de maintenir la charge de batterie à 40% au minimum. Cette fonction est idéale pour vous adapter aux besoins. Un second bouton vous permet, à chaque démarrage du moteur, de désactiver les nombreux bips sonores. Une double pression suffit pour être tranquille durant votre trajet.
Et côté consommation ?
Durant notre long essai, nous avons testé le Captur Full Hybrid sur tous les terrains, de la ville à l’autoroute. Dans l’ensemble, c’est un modèle agréable à conduite avec des aides à la conduite bien calibrées dans l’ensemble. Le régulateur de vitesses adaptatifs est également convaincant avec de bonnes capacités d’anticipation. Mais assez vite, j’ai ressenti un inconfort au niveau du dos. Les sièges semi-baquets sont assez enveloppants mais nous avons trouvé le maintien assez fatigant, notamment au niveau des jambes. L’assise est-elle trop basse ? Difficile à dire… Hormis cet aspect, le Captur hybride tient ses promesses. C’est un SUV bien dans l’air du temps et qui se montre économique. Nous avons même réussi à descendre sous la barre des 5,0 litres aux 100 kilomètres.
Il faut dire que tout élan de sportivité a été rapidement tempéré par cette motorisation qui ne supporte pas d’être brusquée. On se plaît à conduire « mollement » pour profiter d’une belle consommation, ce qui fait que les 145 chevaux n’incitent pas être exploités. Quant à la touche Esprit Alpine, je m’interroge encore sur son intérêt. Esthétiquement, les ajouts sont minimes et il en est de même pour l’intérieur. Si c’était à refaire, nous partirions sans hésiter sur la finition Techno, qui semble être un bien meilleur compromis, tout en ayant la même motorisation, pour 2 300 € moins cher ! Pour un Renault Captur d’occasion, la finition Esprit Alpine peut néanmoins permettre de s’y retrouver à la revente…
Équipements de série
| Jantes alliage 19 pouces | Volant avec coutures bleu/blanc/rouge |
| Peinture métallisée Rouge Flamme | Bandeau intérieur alu brossé dégradé bleu |
| Sellerie Esprit Alpine | Chargeur smartphone à induction |
| Climatisation automatique | Badges Esprit Alpine sur les ailes avant |
| Open Rlink 10,4″ avec Google intégré | Détecteur de pluie |
Options
| Peinture métallisée (650 à 800 €) | Pack Hiver (400 €) |
| Peinture m. et toit contrastant (1 100 à 1 250 €) | Protection de coffre modulable (155 €) |
| Système audio Harman Kardon (650 €) | Barres de toit QuickFix (240 €) |
| Toit ouvrant électrique (1 000 €) | Pack attelage escamotable (850 à 1 400 €) |
| Jantes alliage 18 pouces (0 €) | Coffre de toit 380 litres (430 €) |
Le mot de la fin
Le Renault Captur restylé évolue de manière intéressante et logique. Si les goûts et les couleurs ne se discutent pas, cette motorisation Full Hybrid semble être le meilleur choix. Un choix qui vous garantit de belles économies au quotidien. Mais n’ayez aucune attente en matière de sportivité : ce n’est absolument pas ce que la marque au losange laisse transparaître avec cette version. Un modèle qui dispose toutefois d’un dynamisme correct. En somme, un bon choix pour une petite famille, grâce à un gabarit assez compact et une boîte de vitesses qui mise beaucoup sur la douceur de fonctionnement. Ce typage confort explique sans doute les avis qui divergent beaucoup à propos de cette motorisation…
Commercialisé à partir de 29 700 €, le Renault Captur E-Tech de 145 chevaux est disponible dès la finition d’appel Evolution. La note passe à 32 000 € en finition Techno et 34 300 € avec notre finition d’essai Esprit Alpine. À titre personnel, je ne vous recommande pas vraiment cette dernière. Le maintien des sièges fatigant et le peu de modifications ne justifient pas, à mon sens, ce choix. Je vous recommande davantage la finition Techno sur le configurateur de la marque.
Transparence & conditions de l’essai
- Essai réalisé à notre demande, non-rémunéré par la marque ;
- Véhicule prêté par Renault France en janvier 2025, durant 5 jours ;
- Environ 1 200 kilomètres parcourus, sur différents types de trajet ;
- Mesures de performances réalisées par nos soins ;
- Données techniques d’origine Renault.