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Renault Clio 2 dCi 65 : notre essai complet

Aujourd’hui, je vous propose un voyage dans le temps. Nous allons remonter au tout-début des années 2000. Une époque (pas si lointaine certes…) qui est plutôt prospère pour Renault. La marque au losange multiplie les présentations de nouveaux modèles et en profite pour restyler certains. C’est notamment le cas de la Clio. Un exercice de style réalisé avec brio qui donne naissance à l’incontournable Clio 2 phase 2. Profitons de la mise à disposition d’une voiture d’essai pour découvrir plus en détails cette citadine, tirée à plus de 5 millions d’unités. Notre exemplaire n’est pas incroyable sur le papier : elle arbore le plus petit moteur Diesel de la gamme et la finition d’entrée de gamme Authentique. L’espace d’une semaine, oublions le confort moderne et les technologies et revenons une bonne vingtaine d’années en arrière…

Fiche technique de la Renault Clio 2 dCi 65

Dimensions3,81 x 1,64 x 1,42 mètres
Poids à vide990 kg
TransmissionTraction
Boîte de vitessesManuelle, 5 rapports
Commercialisation2001 à 2004
Moteur1.5 dCi (K9K) 4-cylindres en ligne turbo
Puissance65 chevaux à 4 000 tr/m
Couple160 Nm à 2 000 tr/m
0 à 100 km/h14,8 secondes
Vitesse maximale165 km/h
Puissance fiscale4 CV
Consommation mixte4,3 L/100 km
Côte actuelle~ 2 500 €

Entretenir un best-seller…

Renault a entamé la commercialisation de la Clio en 1990. Il n’a pas fallu attendre bien longtemps avant de décrocher le titre européen de la voiture de l’année, en 1991. Cette même année, la Clio se positionne comme la voiture la plus vendue dans l’hexagone. Elle entretiendra cette performance sans discontinuer jusqu’en 1997. Avec plus de 4 millions d’exemplaires vendus, cela en fait un immense succès. La marque au losange tient sa poule aux œufs d’or, capable de remplacer dignement la Supercinq. Au fil du temps, la Clio a évolué et Renault a opéré une montée en gamme constante, sans oublier les versions sportives. La question de la descendance s’est posée assez vite. Il faut dire que la concurrence est rude et chez Peugeot, la problématique est la même puisque la 205 est vieillissante. En 1998, Renault et Peugeot dévoilent leurs nouveautés, avec respectivement les Clio 2 et 206.

Avec le recul des années, on se rend bien compte que les deux marques ont rempli leur mission avec brio. Les deux citadines profitent d’un beau design, de moteurs fiables, d’une conception soignée… Elles ont tout pour plaire et cela se ressent sur les volumes de vente. Mais revenons sur la Clio. La première phase entretient une certaine forme de continuité. Toujours disponible en carrosseries 3 et 5 portes, elle propose plusieurs finitions, donne accès à la boîte de vitesses automatique, à une dotation dans la bonne moyenne et s’offre même quelques séries limitées. La Clio V6 viendra même coiffer la gamme : Renault est alors à son prime… Mais Peugeot ne manque pas d’arguments et la petite sochalienne attire massivement. Elle est d’ailleurs la voiture la plus vendue dans l’hexagone en 2001…

Le second souffle de la Clio 2

Le passage en l’an 2000 a été le synonyme du lancement de nouveaux modèles pour Renault. En 2000 justement, il y a eu la Laguna de seconde génération et le restylage des Mégane et Scénic. Durant l’année 2001, le public a découvert l’Avantime et la Vel Satis. En 2002, la marque a renouvelé la Mégane et l’Espace. Ces modèles ont mis un coup de vieux à la Clio 2, alors âgée de seulement 3 ans. Les équipes du design ont alors revu leur copie en modernisant assez fortement la citadine. À cette occasion, les phares ont été étirés, avec un fond noir, les feux arrière deviennent bicolores, les pare-chocs ont été redessinés et l’intérieur a été amélioré, avec une planche de bord mieux finie et plus moderne.

La marque a également instauré un moteur Diesel de nouvelle génération : le 1.5 dCi de 65 chevaux. Il se dote d’une injection haute pression à rampe commune et permet une consommation très faible, autour des 4,3 litres aux 100 kilomètres en cycle mixte. Aussi, la gamme de finitions a été renouvelée pour être simplifiée. Désormais, l’entrée de gamme prend le nom d’Authentique. Le milieu de gamme devient Expression et les finitions supérieures sont nommées Dynamique, Privilège et Initiale. La Renault Clio 2 phase 2 a connu un excellent accueil. Elle est plus contemporaine, mieux équipée et s’offre même quelques équipements inédits, comme le régulateur de vitesse, les phares et essuie-glaces automatique. Cela a été rendu possible grâce à un nouveau multiplexage.

Un parfum de nostalgie…

Il y a une vingtaine d’années, mon père et moi-même avions pris l’habitude de nous rendre régulièrement en concession Renault. Il faut dire que nous avions un Scénic 1 phase 2 et un fort attachement à la marque. On prenait le temps de regarder les nouveaux modèles, on faisait un tour par la boutique, on découvrait les occasions… Et parfois, on essayait la clé que nous recevions dans la boîte aux lettres et qui permettait de gagner une voiture si, par chance, nous avions la seule et unique clé gagnante. Même si nous n’avons jamais remporté le gros lot, c’est une époque que j’adorais. Forcément, la Clio 2, j’ai encore des souvenirs d’elle en concession, avec une peinture rutilante, des plastiques intacts et un intérieur qui sent bon le neuf…

Aujourd’hui, la Clio que nous avons à l’essai a déjà une vingtaine d’années de route dans les enjoliveurs. Elle n’a plus son éclat d’antan mais c’est toujours agréable d’en prendre le volant, autant d’années après. Notre exemplaire se pare d’une couleur assez sympa, c’est un gris clair qui tend vers le violet (gris Agathe B65). Les reflets sont vraiment jolis. Côté finition, nous sommes sur l’entrée de gamme Authentique. On fera donc l’impasse sur les coques de rétroviseurs peintes, les antibrouillards avant, le volant réglable en haute ou encore la banquette arrière rabattable en 2/3-1/3. Pas grave, on s’en remettra.

Le design de la Clio 2 phase 2

Longue de 3,81 mètres, la Clio 2 restylée dispose d’une face avant qui a plutôt bien vieilli. Les phares étirés, avec un fond noir, sont encore assez contemporains de nos jours. On perd enfin les glaces striées de la première phase. La calandre est toujours séparée en deux parties, ce qui met bien en valeur le logo de la marque. Le pare-chocs porte assez bien son nom puisque le bandeau en plastique brut est là pour amortir les petits chocs urbains. Les antibrouillards, absents sur notre version, sont donc remplacés par de simples caches, couleur carrosserie. Le dessin du bouclier est d’ailleurs assez simple par rapport aux standards actuels. Pourtant, les lignes sont cohérentes, avec des courbes qui se répondent. Par exemple, la partie extérieure des phares permet de dessiner la partie basse du bouclier.

Côté profil, on retrouve la silhouette de la première phase. Les répétiteurs latéraux sont translucides tandis que les poignées de porte sont en plastique « brut », tout comme les baguettes latérales. Là encore, le design était dicté par la fonction : il fallait une protection pour amortir l’indélicatesse des gens, pas capables de maintenir leurs portières dans les parkings. Sur ces mêmes baguettes, un insert, placé vers l’avant, indique la motorisation présente sous le capot. Le vitrage est assez important, avec des vitres teintées en bleu. La forme des rétroviseurs est aussi très basique. Notre Clio 2 étant en finition Authentique, elle ne dispose donc pas de jantes alliage. On trouve des jantes en tôle de 14 pouces montées en 175/65 R14. Dessus, des enjoliveurs à cinq branches épaisses prennent place. Du moins pour deux d’entre eux puisque les autres se sont fait la malle !

La partie arrière est sans doute celle qui divise le plus. La lunette arrière, très incurvée, permet une bonne rétrovision. Le coffre est bombé, donnant l’impression d’un bourrelet. Les optiques arrière ont un fond rouge avec un cercle transparent au centre. C’est beaucoup plus actuel. L’intégration de la plaque d’immatriculation est assez bonne, elle est surmontée du logo, qui accueille le bouton d’ouverture du coffre. C’est un design assez basique, tout comme le bouclier arrière, sans grande originalité. La Clio 2 a connu deux restylages suivants mais cette seconde phase a été la plus diffusée. Pour ma part, je la trouve plutôt jolie dans l’ensemble : c’est simple mais efficace !

Un intérieur fonctionnel et lumineux

La Renault Clio 2 phase 2 s’offre une nouvelle planche de bord. Celle-ci est nettement plus moderne de conception. On abandonne l’épaisse console centrale au profit d’une nouvelle, plus géométrique et mieux assemblée. Des traits qui modernisent grandement cet habitacle plutôt lumineux. On remarquera aussi des inserts colorés horizontaux, présents sur la partie centrale du tableau de bord. Le volant offre une bonne prise en main tandis que l’instrumentation a le mérite d’être claire. Tout est relativement fonctionnel et plutôt ergonomique même si l’on mesure pleinement les efforts accomplis en 20 ans. Mais pour le coup, il y a un côté plus « vivant » dans cette Clio de 2004. Malgré ses 273 500 kilomètres au compteur, l’intérieur est plutôt en bon état. La sellerie a bien vieilli, tout comme le pommeau du levier de vitesse. Fait agréable : la visibilité est excellente, tant à l’avant qu’à l’arrière…

Côté équipements, notre finition d’entrée de gamme Authentique est assez basique. Nous avons les vitres électriques à l’avant, la direction assistée ou encore la fermeture centralisée mais c’est à peu près tout ! En revanche, la marque au losange a mis le paquet en ce qui concerne la sécurité. L’aide au freinage d’urgence est incluse de série, tout comme l’airbag passager déconnectable ou les fixations Isofix. Une dotation simple donc mais suffisante pour un usage « basique ». C’est là que l’on se rend compte que nous avons pris goût à certains équipements modernes qui n’ont rien d’indispensable.

La Clio 2 : une voiture à vivre !

Le slogan de la marque s’applique parfaitement à cette Clio restylée. Malgré sa dotation minimaliste, on se sent vite bien à son bord ! Les années qui passent auront laissé quelques séquelles à notre citadine de 2004. Le tissu des contre-portes est partiellement décollé, quelques équipements ne fonctionnent plus et la fixation de la boîte à gants a rendu l’âme. Mais hormis cela, le niveau de confort est correct, avec un bon maintien des sièges avant. C’est moelleux mais pas trop « serré » tout en maintenant correctement votre dos. À l’arrière, la finition Authentique fait l’impasse sur les appuie-têtes. Cela rend le second rang nettement moins agréable et c’est dommage car l’espace aux jambes est correct pour le segment.

Même remarque pour le coffre dont le volume de coffre de 255 litres est dans la moyenne. Il est facile à charger et suffira dans la majorité des cas. Nous sommes bien sûr très loin de ce que peut offrir une Clio de dernière génération, capable d’offrir jusqu’à 340 litres de stockage. Pour les manœuvres, pas de caméra de recul ni même de radar… On se retourne, on s’aide des rétroviseurs et on profite de la grande lunette arrière pour se stationner. Un vrai retour aux sources !

Un moteur Diesel de nouvelle génération !

Lorsqu’elle a été officialisée en 2001, la Renault Clio 2 phase 2 abandonnait le moteur Diesel dTi de 80 chevaux au profit d’un nouveau moteur, qui prend le nom de dCi. Celui-ci dispose d’un turbocompresseur, ce qui permet de descendre sa cylindrée à 1 461 cm3, ou 1.5 litre. Dans un premier temps, seule la variante de 65 chevaux, que nous avons sur notre modèle d’essai, était proposée. Par la suite, un second niveau de puissance à 80 chevaux (en 2002) sera de la partie ainsi qu’un troisième à 100 chevaux (en 2004). Ce nouveau moteur (type K9K) dispose d’une injection directe à rampe commune (common rail). Il a été développé conjointement par Renault et Nissan et permet plusieurs avantages.

Ce moteur est aussi plus économique à l’usage, un peu plus silencieux et offre de meilleures performances. Il se montre aussi plus économique en entretien… Et séduit par sa fiabilité ! Malgré quelques soucis de jeunesse, comme les injecteurs parfois trop fragiles, c’est un moteur qui figure parmi les meilleurs de la marque, avec une endurance remarquable. La condition, c’est d’assurer un entretien rigoureux. Les vidanges doivent être réalisées en respectant les préconisations, ne serait-ce que pour éviter une usure du turbo. On notera aussi que ce moteur n’a pas de filtre à particules, ce qui permet de limiter l’encrassement même si, on ne le répètera jamais assez, il ne faut pas acheter une voiture à moteur Diesel pour faire de la ville !

1.5 dCi 651.5 dCi 801.5 dCi 100
Puissance65 ch. à 4 000 tr/m80 ch. à 4 000 tr/m100 ch. à 4 000 tr/m
Couple160 Nm à 2 000 tr/m185 Nm à 2 000 tr/m200 Nm à 1 900 tr/m
Puissance fiscale4 CV4 CV5 CV
Poids à vide990 kg990 kg1 000 kg
0 à 100 km/h14,8 secondes11,5 secondes10,1 secondes
Conso extra-urbaine4,1 L/100 km4,1 L/100 km4,1 L/100 km
Conso urbaine5,7 L/100 km5,8 L/100 km5,9 L/100 km
Conso mixte4,3 L/100 km4,4 L/100 km4,4 L/100 km
Vitesse maximale160 km/h173 km/h186 km/h

Au volant de la Clio 2 dCi 65

Maintenant, mettons-nous au volant de notre vaillante Renault Clio 2 dCi de 65 chevaux. Dès le deuxième coup de clé, le moteur dCi se met en éveil. Quelques tremblements se font ressentir dans le volant et dans le levier de vitesses. L’insonorisation est toutefois assez correcte depuis l’intérieur. On enclenche la première et nous voici partis. Comme souvent chez Renault, la boîte est d’une grande douceur, les vitesses passent sans forcer. Le levier a d’ailleurs un côté très « mécanique » puisqu’il remonte bien les différentes informations du moteur, ce qui est assez sympa quand on aime bien ce ressenti. Côté amortissement, rien à signaler : c’est souple. Malgré son kilométrage élevé, notre Clio est encore bien amortie. Elle encaisse bien les dos d’âne et les aspérités de la route. La direction n’est pas particulièrement directe et elle manque de sensations, tout incite à une conduite douce et lisse.

Le freinage est assuré par des disques à l’avant et des tambours à l’arrière, cela suffit amplement. C’est endurant avoir défaut d’avoir beaucoup de mordant. Côté performances, il ne faut pas avoir de grandes attentes mais ce moteur dCi de 65 chevaux est tout de même bluffant. En ville, ses 160 Nm de couple disponibles à 2 000 tr/m permettent un dynamisme surprenant, sans avoir besoin de rétrograder. Tout est très doux, ce qui permet une conduite économique. En ville, le dCi 65 peut descendre autour des 5,5 litres aux 100 kilomètres, ce qui est remarquable ! Mais quittons la ville. Là, le moteur est déjà un petit peu plus à la peine. Les performances sont assez limitées. La cinquième vitesse est étagée très généreusement. On peut la passer autour des 50 km/h mais elle pourra aussi vous emmener jusqu’à 160 km/h !

Si l’envie vous prend d’appuyer un petit peu sur le champignon, il faudra aller chercher le couple et la puissance là où ils se trouvent. Le couple, c’est à partir de 2 000 tr/m et la puissance vers les 4 000 tr/m. Inutile d’aller au-dessus, vous n’obtiendrez rien de plus. La tenue de route est globalement correcte et sécurisante mais évitez les excès d’optimisme… La Clio est sujette au sous-virage, avec un avant assez « lourd » en matière de ressenti malgré une masse totale légèrement sous la tonne. On ressent assez bien la voiture, ainsi que ses limites… qui interviennent assez rapidement !

En virage, elle a tendance à monter trop rapidement sur ses appuis, ce qui implique de ralentir le rythme. Pour une voiture d’un niveau de puissance aussi faible, c’est déjà très correct ! Notre petite monte en 14 pouces semble accentuer ce phénomène. Même si le châssis est bon, le typage confort excessif impose vraiment une conduite douce. D’ailleurs, la Clio prend vite du roulis. Côté consommation, nous avons réussi à descendre sous la barre des 4,0 litres aux 100 kilomètres en cycle mixte. Qui dit mieux ?

Nous n’avons pas eu l’occasion de faire de l’autoroute avec cette Renault Clio 2 dCi de 65 chevaux mais sur les voies limitées à 110 km/h, elle demeure assez peu sensible au vent. Les bruits aérodynamiques s’intensifient logiquement mais sans que cela ne soit réellement désagréable. Malgré son kilométrage élevé, cette voiture demeure dans un assez bel état de conservation. Elle rappelle une époque où l’automobile était plus « simple » avec un ressenti plus « mécanique » qui avait son charme. C’était beaucoup moins aseptisé qu’actuellement. Je crois que cette époque me manque un petit peu ! Une Clio 5 est supérieure sur tous les points… Mais cela manque de saveur à mon goût !

Principales options

GPS monochrome (1 160 €)Peinture métallisée (330 €)
Climatisation manuelle (1 000 €)Jantes alliage 14 pouces (500 €)
Climatisation automatique (1 160 €)Toit ouvrant (560 €)
Phares antibrouillard (150 €)Radio CD (160 €)

Et niveau fiabilité ?

Acheter une Renault Clio 2 dCi 65 chevaux de nos jours, cela devient de moins en moins commun. C’est une voiture vieillissante mais que l’on peut acquérir à petit prix. En raison de la multiplication des ZFE (zones à faibles émissions), pas mal d’automobilistes cherchent à se séparer rapidement de leurs vieilles voitures Diesel. Il y a donc de belles affaires à saisir dans les métropoles. Cette petite citadine Diesel a pas mal d’atouts ! Elle est très économique à l’usage et s’avère relativement fiable et sécurisante. À l’époque, elle a même réussi à décrocher les 4 étoiles au crash-test Euro NCAP. Les premières séries, de 2001, ont parfois connu des soucis d’injecteurs qui ont été corrigés. Les casses de turbo arrivent surtout sur les voitures mal entretenues…

Clichés Renault Clio 2

Foire aux questions

Le moteur dCi 65 est-il fiable sur la Clio 2 phase 2 ?

Oui, le moteur 1.5 dCi 65 est globalement fiable s’il est bien entretenu. Les versions 65 ch sont moins sujettes aux problèmes d’injecteurs que les versions plus puissantes, mais un entretien régulier reste essentiel.

Quelle est la consommation moyenne réelle du moteur dCi 65 ?

En usage mixte, la consommation tourne autour de 4,5 à 5 L/100 km, ce qui en fait un moteur très économique, surtout pour un usage urbain et périurbain.

À quelle fréquence faut-il faire la courroie de distribution ?

Renault recommande de changer la courroie de distribution tous les 120 000 km ou tous les 5 ans, selon la première échéance atteinte.

Quels sont les coûts d’entretien moyens pour ce modèle ?

Les coûts sont raisonnables : révisions simples autour de 150 €, distribution environ 500 €, injecteurs (si remplacement) entre 250 et 400 € pièce. Les pièces sont faciles à trouver et peu coûteuses.

Combien coûte une Clio 2 dCi 65 ?

Une Clio 2 dCi 65 se trouve généralement entre 1 100 € et 4 000 € selon l’état, le kilométrage et l’équipement. Les modèles en bon état tournent autour de 2 500 à 3 500 €.

Thomas Drouart

J'ai fondé PDLV à 13 ans, c'était il y a... Pas mal de temps déjà ! Ma passion pour l'automobile n'a fait que s'intensifier. Depuis, ce blog a prospéré et nous permet de vivre notre passion à 100%. Mon pêché mignon ? Les Fiat Panda 100HP, les Porsche 911 type G et les brochettes bœuf-fromage. Je m'intéresse à tout ce qui roule, même si mon allergie au diesel me rapproche bien souvent du pistolet vert.

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