En 2021, Peugeot a dévoilé la troisième génération de 308. La compacte à succès a signé son grand retour, inaugurant le nouveau logo de la marque et des codes stylistiques modernisés. Décliné en compacte (P51) et break (P52), la Peugeot 308 III a rapidement été aperçue avec une troisième carrosserie : celle d’une berline aux faux airs de SUV. C’est finalement en juin 2022 que la Peugeot 408 a été officialisée. Nous avons pu prendre les commandes d’une Peugeot 408 GT Hybrid 225 pendant plusieurs centaines de kilomètres. Et voici ce qu’il faut savoir avant de s’offrir ce modèle surprenant, qui ne laisse personne indifférent.
Fiche technique de la Peugeot 408 GT Hybrid 225
Dimensions | 4,69 x 1,85 x 1,48 mètres |
Poids | 1 706 kg |
Transmission | Traction |
Boîte de vitesses | Automatique, 8 rapports |
Commercialisation | Depuis 2022 |
Moteur | 4 cyl. turbo 1.6 litre de 180 chevaux moteur électrique de 110 chevaux à l’avant |
Puissance | 225 chevaux à 6 000 tr/m |
Couple | 360 Nm dès 1 750 tr/m |
0 à 100 km/h | 7,8 secondes |
Vitesse maximale | 233 km/h |
Puissance fiscale | 10 CV |
Consommation mixte | 1,2 L/100 km |
Prix du neuf | dès 49 520 € |
L’essai de la Peugeot 408 GT 225 en vidéo
Peugeot et la “berline du futur”
Dès 2015, Peugeot entamait sa réflexion sur la berline du futur. Pour contextualiser, à cette époque pas si lointaine, la marque au lion venait de restyler la 508 de première génération. Une berline assez traditionnelle qui remplaçait conjointement la 407 et la 607, en jouant la carte de l’entre-deux. En 2015, naît donc un concept-car, nommé P54, qui prend la forme d’un exercice de style visant à définir ce que pourrait être la berline de demain. Un prototype codé P54 qui envisageait déjà l’ambiguïté entre berline et SUV.

Alors que la Peugeot 308 de troisième génération entrait en production, la marque n’a pas hésité bien longtemps avant de concrétiser sa “berline du futur”. Profitant du vent en poupe et d’une image forte, Peugeot a donné vie à cette troisième carrosserie de la 308, qui prenait parfois le nom de 308 X, 308 Crossover, 408 ou encore 4008. C’est finalement en juin 2022 que le nom de 408 a été officialisé.



Si la Peugeot 408 est concrètement une 308 recarrossée, elle s’en distingue sur de nombreux aspects. Le point le plus évident, c’est les lignes, qui sont bien différentes, à tous les niveaux. De prime abord, beaucoup ont pensé à un énième SUV mais dans les faits, avec 1,48 mètre de haut, la 408 tient davantage de la berline. Un exercice de style assez impressionnant, d’autant plus que la marque n’avait nullement évoqué son manifeste de style de 2015, préférant laisser une certaine forme de surprise. Ce type de carrosserie hybride tend à se répandre de nos jours mais chaque constructeur joue une carte différente. Pour Peugeot, la réflexion a porté sur l’approche globale et il faut reconnaître que cette Peugeot 408 est une voiture pleine de surprise. Faut-il en voir une descendante de la 407 et plus généralement de la série 400 de Peugeot ?
Peugeot 408 : un design hybride mais cohérent
Commençons par évoquer l’avant. Notre Peugeot 408 Hybrid 225 arbore la finition haute GT qui s’identifie à ses optiques amincies. Elle dispose également de la belle calandre, qui arbore des pastilles couleur carrosserie qui semblent s’évaser sur le côté, donnant un côté très dynamique et moderne. Les crocs LED “percent” les écopes tandis que la grille inférieure du pare-chocs arbore un motif en nid d’abeille. C’est un design très contemporain, qui joue beaucoup sur les textures et les formes. C’est assez musclé, d’autant plus que le capot est bombé sur la partie centrale, avec un décaissement sur les côtés. Si certains éléments sont repris de la 308, bon nombre de ces éléments sont spécifiques à la 408. Pour marquer la filiation avec le reste de la gamme, le sigle 408 prend place sur la partie haute du pare-chocs, au-dessus du logo.

De profil, on remarque des extensions d’ailes en plastiques. Elles aussi affichent de beaux détails avec une partie centrale creusée, qui rajoute du raffinement. Mais le plus bluffant, selon moi, vient du dessin du profil. Un profil marqué par deux “cassures”, aboutissant sur deux lignes obliques, qui dynamisent la ligne. Les ailes arrière sont d’ailleurs joliment sculptées, donnant un arrière très profilé. Les bas de caisse sont d’ailleurs très élégants également, avec un design bien musclé sur la partie basse. Au niveau de la ligne de caisse, celle-ci est de type fastback, avec un pavillon plongeant juste après les places arrière. Cela permet de préserver une bonne habitabilité, tout en offrant une silhouette à la manière d’un coupé. C’est ainsi que Peugeot imaginait sa berline du futur !
Une silhouette de coupé sur une berline ?
Au niveau du vitrage, c’est très fluide également. Celui-ci s’achève, à l’arrière, sur une arête saillante… Mais c’est surtout un artifice ! En effet, les portes arrière disposent d’une vitre en deux parties et c’est tout. La “pointe” noir est en réalité un simple cache peint en noir brillant. À bord, cela limite la visibilité arrière et rend la caméra de recul indispensable pour se stationner sans stress. En finition GT, la Peugeot 408 dispose d’office de jantes de 19 pouces. En option, pour 300 €, il est possible de s’offrir ce modèle Monolithe, en 20 pouces, avec un design assez futuriste. Au début, on avait un petit peu de mal avec ces jantes mais on s’y fait très vite. Et mieux encore, maintenant, on les adore ! Elles remplissent bien les arches et renforcent le côté un peu futuriste de la 408.
À l’arrière de la Peugeot 408, on découvre des optiques 3D au design très sympa. Elles aussi sont une spécificité de la finition GT. Elles sont liées par un bandeau incluant au centre le nouveau logo de la marque. La plaque d’immatriculation est incluse dans un décaissement au niveau du hayon. Les logos sont alors disposés de part et d’autre. La lunette arrière se passe d’un essuie-glace tandis que des “oreilles de chat” viennent habiller la ligne et renforcer son agressivité. Un qualificatif qui a souvent valu le surnom de “Mini Urus” à la 408 ! Quant au pare-chocs, le fait qu’il soit intégralement en plastique a souvent concentré des reproches. Dans les faits, c’est assez “brut” mais on s’y accommode. Quelques touches de noir brillant apportent un côté plus chic… Et sur notre configuration blanc nacré, le contraste fonctionne assez bien. Qu’en dîtes-vous ?
Peugeot 408 : est-ce une berline ou un SUV ?
On vous l’accorde, en photo, la Peugeot 408 pourra facilement être assimilée à un SUV. Beaucoup l’imaginaient alors comme une concurrente interne au 3008. Pourtant, c’est bien un modèle à part. Lorsque l’on prend le temps de la découvrir, la Peugeot 408 révèle son identité : c’est bel et bien une berline. Alors oui, elle emprunte des codes au SUV ; un choix volontaire de la part de Peugeot qui voulait s’inspirer des deux univers. Mais il est indéniable que la 408 tient davantage de la berline. Un ressenti confirmé par un examen technique (base de la 308) mais également au volant car le feeling de conduite est bien celui d’une berline. D’ailleurs, la hauteur de caisse reste largement mesurée et la position de conduite s’apparente à celle d’une compacte.



Parmi les détails remarquables de la Peugeot 408 GT, il y a bien sûr cette calandre avant très dynamique, assez fascinante à regarder. Bien qu’elle soit aérée réellement que sur la partie supérieure, elle crée un effet “Wahou”. Sur les portières, dans le prolongement des ailes avant, on trouve aussi le logo Peugeot, gimmick propre aux versions haut de gamme GT. Il y a aussi le dessin des ailes arrière, assez musclé et la découpe de la partie arrière, qui forme un épais masque englobant les ailes. Tout cela permet à la Peugeot 408 d’avoir sa propre identité et de se présenter comme un modèle à part dans la gamme et pas comme un “simple” dérivé de la Peugeot 308 III. Car oui, la 408 dérive d’une compacte bien que sa longueur soit seulement 6 centimètres inférieure à celle de la 508.
À bord de la Peugeot 408
Peugeot France nous a confié la clé d’une Peugeot 408 GT haut de gamme, disposant de l’intégralité des options du catalogue. Cela donne un bon aperçu des technologies présentes à bord… Mais il faut aussi se rendre à l’évidence : la plupart des 408 n’auront pas cette abondance. Accédons tout de suite à bord de notre belle 408 blanc nacré. Et là, il y a comme un déjà-vu car c’est l’intérieur de la 308 qui a été repris, tel quel.

Ce n’est pas vraiment un reproche car la Peugeot 308 III a un bel habitacle. On retrouve une belle planche de bord, moderne dans ses formes, faisant la place belle aux écrans. On découvre l’instrumentation numérique Peugeot i-Cockpit avec une dalle de 10 pouces, personnalisable. On y retrouve l’effet 3D, assez sympa. L’écran central a aussi une diagonale de 10 pouces. Dès le premier niveau de finition, on dispose des i-Toggles, c’est-à-dire des commandes tactiles personnalisables, prenant la forme de raccourcis, sur la partie basse.




L’éclairage d’ambiance est aussi inclus de série, c’est particulièrement agréable de nuit, avec des filets de LED sur les contre-portes avant et sur différents endroits de la planche de bord. Notre exemplaire dispose également du toit panoramique, qui apporte de la luminosité à bord ; c’est recommandé. La force de notre exemplaire, c’est aussi d’avoir la sellerie bleu Naboo, optionnelle à 2 830 €, exclusivement disponible avec la finition GT. Cette sellerie en cuir peut surprendre initialement mais on s’y fait très vite. Personnellement, j’avais un peu de mal au début mais j’ai beaucoup apprécié ces touches de couleur.
Un habitacle agréable et bien conçu
La planche de bord est plutôt qualitative, les ajustements sont bons, le cuir semble de qualité et les touches d’aluminium donnent un côté cossu. Le petit volant, avec sa jante épaisse, offre une très bonne prise en main. On a bien aimé aussi la console centrale. Elle dissimule un chargeur pour smartphone (optionnel) et limite les boutons physiques. Malgré tout, ceux qui sont présents tombent bien sous la main et sont faciles à utiliser. Notre Peugeot 408 hybride rechargeable dispose également de plusieurs modes de conduite que voici :
- Électrique : mode permettant de n’utiliser que le moteur électrique de 110 chevaux, jusqu’à la vitesse maximale de 135 km/h avec une autonomie maximale de 63 kilomètres ;
- Hybride : mode utilisant alternativement ou conjointement les moteurs électrique et thermique dans le but d’optimiser la consommation. C’est la seule solution permettant d’atteindre la consommation mixte de 1,2 litre aux 100 kilomètres en cycle WLTP ;
- Sport : mode de conduite qui exploite les deux sources d’énergie dans le but de favoriser les performances. Cela permet de profiter des 225 chevaux de puissance et des 360 Nm de couple.

Ces modes de conduite se sélectionnent très facilement puisqu’ils sont placés sur la console, juste sous le sélecteur de vitesses. Ce dernier reprend d’ailleurs le dernier design de Peugeot avec une molette incluse au sein de la console. Les rangements sont assez nombreux et plusieurs ports USB type C permettent de recharger très facilement vos équipements. La place est assez généreuse et on trouve facilement la bonne position de conduite.
À l’avant, le maintien est bon. Les sièges ont une conception labellisée AGR. Ils sont réglables électriquement, sont chauffants et même massants. On peut même régler la longueur d’assise. À l’arrière, trois places. Le maintien est correct et on découvre un accoudoir central dépliable. Deux ports USB, avec contour illuminé, sont également de la partie. L’espace aux jambes est pas mal du tout, tout comme en hauteur, ce qui permet d’accueillir des adultes à l’arrière. Quant au volume de coffre, il est de 471 litres, ce qui est correct. Si, comme nous, vous avez choisi le système audio Focal, la capacité descend légèrement, à 454 litres.
Peugeot 408 Hybrid 225 : comment ça marche ?
La Peugeot 408 est proposée avec quatre motorisations différentes. On notera qu’elles disposent toutes d’office de la boîte de vitesses automatique EAT8 (thermique), e-EAT8 (hybride) ou DSC6 (hybride). Le moteur d’appel, à savoir le PureTech de 130 chevaux sera d’ailleurs remplacé très prochainement par le bloc hybride de 136 chevaux. Dans notre cas, c’est le plus gros moteur disponible qui équipe notre exemplaire. Un modèle d’une puissance cumulée de 225 chevaux qui repose sur une architecture hybride rechargeable. On retrouve donc un moteur bien connu : un 4-cylindres PureTech de 1.6 litre développant 180 chevaux. Il est associé à un moteur électrique, qui prend également place à l’avant et qui délivre 110 chevaux. L’ensemble permet de disposer de 225 chevaux en puissance totale cumulée.
Moteur | Puissance | Consommation | Prix d’appel |
---|---|---|---|
PureTech 130 (essence) | 130 chevaux | 6,0 L/100 km | 35 630 € (Allure) 36 940 € (Allure Pack) 39 950 € (GT) |
Hybride 136 (hybride) | 136 chevaux | 5,1 L/100 km | / |
Plug-in Hybrid 180 | 180 chevaux (150 essence & (110 électrique) | 1,1 L/100 km | 43 720 € (Allure) 44 640 € (Allure Pack) 47 670 € (GT) |
Plug-in Hybrid 225 | 225 chevaux (180 essence & 110 électrique) | 1,2 L/100 km | 46 500 € (Allure Pack) 49 520 € (GT) |

Deux moteurs qui peuvent fonctionner de manière alternée ou combinée. En ayant le pied léger et en utilisant le mode Hybride, la consommation peut chuter à 1,2 litre aux 100 kilomètres. Cela reste une donnée théorique que nous ne sommes pas parvenus à atteindre. Malgré tout, la 408 GT se montre très économique à l’usage à la condition de toujours avoir suffisamment de charge dans la petite batterie de 12,4 kWh.

Celle-ci se recharge en roulant lors des phases de freinage et de décélération. Le bouton B, situé au niveau du sélecteur de vitesses, permet d’enclencher le mode Brake, qui maximise le frein moteur et donc la récupération d’énergie. Si la batterie est à vide, vous pouvez d’ailleurs la recharger à domicile depuis le câble fourni ou bien utiliser le chargeur 3,7 kW (série) ou 7,4 kWh (en option) fourni. Mais la charge n’étant pas rapide, prévoyez plusieurs heures pour restaurer la charge. La charge peut d’ailleurs être gérée depuis l’application mobile MyPeugeot. Pratique pour superviser à distance et même démarrer le chauffage à distance. Elle peut être couplée avec Charge My Car pour localiser les bornes de recharge sur le trajet.

D’ailleurs, l’autonomie électrique atteint 63 kilomètres. Dans les faits, nous n’avons pas réussi à aller au-delà de 34 kilomètres. Toujours est-il que si vous n’avez pas la possibilité de recharger, il est possible d’utiliser le moteur thermique à la manière d’une génératrice de courant. C’est assez énergivore mais efficace. Cela se passe depuis l’écran central, avec un mode nommé Max e-SAVE. Malgré la puissance de 225 chevaux et le nom “GT” de cette finition haute, la Peugeot 408 n’a pas la prétention d’être sportive. Elle se positionne avant tout comme une berline dynamique. Les chiffres de performances, bien que purement théoriques, appuient cela. Comptez 7,8 secondes pour passer de 0 à 100 km/h et une vitesse maximale de 233 km/h. Précisons également que la 408 accuse 1 706 kg à vide.
Au volant de la Peugeot 408 Hybrid 225
Passons maintenant derrière le volant de la Peugeot 408 Hybrid 225. Déjà, nous avons la finition GT, qui se veut plus dynamique dans son comportement et dans sa présentation. Elle dispose en plus des jantes Monolithe optionnelles de 20 pouces. Soyons clairs : ces dernières n’altèrent pas le confort et constituent un très bon compromis. Confortablement installés, on peut maintenant passer en mode Sport, ce qui a pour effet immédiat d’activer le moteur thermique, qui vient épauler le moteur électrique qui assure d’office les démarrages. La sonorité est assez banale, bien qu’elle puisse être intensifiée dans l’habitacle. Un son assez neutre, bien que pas désagréable. Les premiers mètres, la puissance électrique convainc mais bien vite, l’ensemble s’essouffle. 7,8 secondes pour passer de 0 à 100 km/h, ce n’est pas particulièrement vif. Pour l’anecdote, la version de 180 chevaux ne réclame 0,3 seconde sur le même exercice.

Les reprises sont plutôt bonnes tandis que le châssis se montre sain et équilibré. La direction est précise, le train avant accroche bien et l’arrière est suffisamment mobile. En conduite sportive, les transferts de masse sont assez bons et on découvre un bel équilibre. Le freinage est également suffisamment mordant tandis que l’amortissement est judicieusement dosé. Ce n’est ni trop ferme, ni pas assez. En fait, il ne manque qu’un petit peu de chevaux pour faire de la Peugeot 408 Hybrid 225, une voiture vraiment dynamique. Un second moteur électrique sur l’essieu arrière ne serait pas de refus. La boîte e-EAT8 est toujours agréable et bien étagée. On peut naturellement utiliser les palettes derrière le volant.

En ville, le gabarit s’appréhende assez bien mais les virages serrés peuvent assez vite devenir angoissants en raison de l’empattement long et d’une sensation de poids sur l’avant. Toutefois, on appréciera la présence de la caméra de recul et surtout la vue à 360°, qui est fluide et bien pratique pour stationner sans stress. Pour le reste, pas de mauvaise surprise. Le régulateur de vitesse adaptatif comprend aussi une fonction d’aide au maintien dans la voie, qui est plutôt bonne. Sur autoroute, c’est très appréciable mais au quotidien, c’est vite agaçant. Heureusement, les aides peuvent être paramétrées depuis l’écran tactile. Pour le reste, on retrouve les qualités routières de la 308 malgré un gabarit plus conséquent. La Peugeot 408 Hybrid 225 se montre agréable et facile à vivre. La nuit, l’éclairage d’ambiance apporte un vrai plus.

Il faut aussi noter que notre exemplaire dispose du Night Vision. C’est une technologique qui prend la forme d’un capteur infrarouge qui analyse la route et l’environnement en temps réel. L’ensemble est reconstitué sur l’un des volets de l’instrumentation et s’active uniquement de nuit. Sur cette interface, les dangers potentiels sont entourés en jaune tandis que les points de vigilance majeurs apparaissent en rouge. Le freinage d’urgence peut même se déclencher si nécessaire. C’est une technologie vraiment pas mal même si l’aboutissement aurait été de le corréler avec l’affichage tête haute.
Les couleurs de la Peugeot 408
Illustration | Couleur & code couleur | Prix |
---|---|---|
![]() | Blanc Nacré (KWE) | Plus disponible |
![]() | Blanc Okénite (ESU) | 640 € |
![]() | Bleu Obsession (EDP) | Gratuite |
![]() | Gris Artense (KCA) | 640 € (indisponible sur GT) |
![]() | Gris Selenium (ELD) | 640 € |
![]() | Gris Titane (KKJ) | Plus disponible |
![]() | Noir Perla Nera (KTV) | 640 € |
![]() | Rouge Elixir (EVH) | 830 € |
Équipements de série
Peinture métallisée Bleu Obsession | Jantes alliage 19 pouces |
Accès et démarrage mains libres | Projecteurs Matrix LED |
Conduite semi-autonomie niveau 2 | Ciel de toit noir Mistral |
Instrumentation numérique i-Cockpit 10″ 3D | Pack Drive Assist |
Caméra de recul | Sellerie Alcantara/TEP |
Principales options
Peinture métallisée noir Perla Nera, gris Selenium, blanc Okénite (640 €) | Peinture métallisée rouge Elixir (830 €) |
Pack Cuir Nappa Mistral (2 640 €) | Pack Cuir Nappa Bleu Naboo (2 830 €) |
Système Hi-Fi Premium Focal (830 €) | Recharge smartphone par induction (100 €) |
Toit ouvrant électrique (1 080 €) | Jantes Monolithe 20 pouces (300 €) |
Chargeur embarqué 7,4 kW (390 €) | Night Vision (1 370 €) |
La Peugeot 408 en miniature
Dans cette vidéo, on passe en revue les Peugeot 408 miniatures qui existent sur le marché. On y trouve notamment la Peugeot 408X réalisée par Paudi à l’échelle 1/18. Il y a également la Peugeot 408 à l’échelle 1/64, réalisée par Norev, que l’on peut acheter à petit prix, en concession notamment.
Le mot de la fin
La Peugeot 408 Hybrid 225, en finition GT, s’affiche à 49 520 € hors option. Un prix somme toute assez élevé mais il faut se rendre à l’évidence : il y a une évolution générale des prix. Cette berline aux allures de SUV se montre convaincante à tous les niveaux. Son style fait tourner les têtes tandis que la conduite ne réserve que des bonnes surprises. La consommation reste mesurée et le plaisir de conduite est au rendez-vous. Quant à cette version de 225 chevaux, le dynamisme est au rendez-vous mais n’ayez pas d’attente en matière de sportivité : ce n’est clairement pas la vocation du modèle. Dans tous les cas, cet essai nous a plutôt convaincu. On ne parlera évidemment pas d’une descendance directe des 406 et 407… Mais la série 400 n’est pas morte : elle a juste évolué.
Merci à Peugeot France pour la mise à disposition de ce bel exemplaire et Thomas H-M pour les prises de vue.











