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Porsche 911 2.0 L Targa ’68 : essai d’une légende

Au milieu des années ’60, Porsche a pris une décision qui allait changer l’histoire de la marque : la création d’un nouveau modèle. La 901, devenue 911 peu de temps après, introduisait un nouveau coupé sportif tout en créant un véritable mythe roulant. Aujourd’hui, les Porsche 911 de première génération sont des collectors absolus. Je vous propose de partir à la découverte d’une superbe 911 L de 1968, en carrosserie Targa. Un voyage dans le temps qui permet de mieux comprendre l’histoire de ce mythe roulant. Simon, notre collègue photographe, avait réservé ce modèle à l’occasion de son mariage. L’occasion de tester cette belle ancienne, qui roule vers ses 60 ans déjà…

Fiche technique Porsche 911 L Targa 1968

Dimensions4,16 x 1,61 x 1,32 mètres
Poids1 080 kg
TransmissionPropulsion
Boîte de vitessesManuelle, 5 rapports
Commercialisation1968
Moteur6-cylindres à plat atmosphérique,
essence de 2.0 litres
Puissance130 chevaux à 6 100 tr/m
Couple174 Nm à 4 200 tr/m
0 à 100 km/h9,0 secondes
Vitesse maximale210 km/h
Puissance fiscale11 CV
Consommation mixte12 L/100 km
Côte actuelle en 2024environ 150 000 €

La naissance d’une légende…

L’histoire de Porsche débute au début du XXe siècle lorsqu’un certain Ferdinand Porsche crée un premier véhicule ; la Lohner-Porsche, avec une hybridation essence-électrique précurseure. La marque naîtra en 1931 et le second modèle sera une Volkswagen puisque c’est à Porsche que reviendra la conception de la « voiture du peuple », la Coccinelle. Viendra ensuite la 356 de 1948, qui repose sur une base de Coccinelle justement, mais qui arbore une silhouette de coupé sportif. Ce modèle ancrera pleinement Porsche comme un fabricant de véhicules sportifs. À la fin toute fin des années 50, Porsche prépare le remplacement de la 356 avec le prototype T7. Le modèle de série qui en découlera sera exposé au Salon de l’Automobile de Francfort en 1963. C’est la 901. La commercialisation débutera peu de temps après.

Mais rapidement, Peugeot revendique la paternité des identifiants avec le zéro central. Après les 82 premières 901 vendues, Porsche renomme son modèle en 911. Le succès de la nouvelle venue est immédiat. On doit ce somptueux design à Ferdinand Alexander Porsche (petit-fils du fondateur de la marque) ainsi qu’au designer autrichien Erwin Komenda à qui l’on doit également la Volkswagen Coccinelle ou encore les Porsche 356, 550 et bien sûr la 911 ! La remplaçante de la 356 gagne en maturité avec un style plus affirmé et une ligne fastback qui rentrera dans l’histoire. Cette silhouette, la firme de Stuttgart continue de la faire évoluer sur les générations actuelles. Preuve en est de l’intemporalité du modèle. Mais il ne faut pas idéaliser les choses non plus : Porsche envisageait d’arrêter la 911 à la fin des années ’80 au profit des Porsche à moteur avant…

Un modèle bien dans son époque

La Porsche 911 de première génération reprend l’architecture globale de la 356. Longue de 4,16 mètres, ce coupé conserve son moteur en position arrière mais celui-ci gagne deux cylindres. Le moteur flat-6 (car les bancs de cylindres sont à plat) est inédit de conception. Il bénéficie d’un refroidissement par air, ce qui lui vaudra une sonorité largement identifiable. Et là encore, cette conception restera d’actualité, encore aujourd’hui ! À l’origine, chaque millésime de la 911 portait le nom d’une série. La série A correspond aux modèles de 1964, la série B à ceux de 1965 et ainsi de suite. C’est ainsi que la seconde génération de 911 a pris le nom de série G. Mais à côté de ces dénominations, la 911 a connu plusieurs versions différentes, identifiées par une lettre après le nom 911.

Un petit récapitulatif rapide s’impose pour mieux appréhender cela.

ModèleAnnéesPuissanceCaractéristiques
911 2.01965 à 1967130 ch.Pare-chocs avec butoirs chromés, grille d’aération chromée, moteurs 2.0 litres, rétroviseurs ronds et chromés
911 2.0 S1967 à 1968160 ch.Version plus sportive, jantes Fuchs, moulures de pare-chocs plus épaisses, pas de butoirs, lettrage doré à l’arrière, essuie-glaces orientés vers la droite
911 2.0 S1968170 ch.Augmentation de la puissance, jantes Fuchs à fond noir, pneus plus large, baguettes latérales plus hautes, poignées de portes intégrant des protections de bouton poussoirs
911 2.0 T1968 à 1969110 ch.Version qui constitue l’entrée de gamme. Poids légèrement réduit, boîte étagée différemment, performances moindres, logos Porsche couleur argent, essuie-glaces orientés vers la gauche
911 2.0 L1968130 ch.Version destinée à remplacer la 911 « classique ». Elle gagne des équipements de confort comme un volant à quatre branches, des vides-poches, une poignée de maintien, un miroir de courtoisie et une sellerie en cuir
911 2.0 E1969140 ch.Ce modèle dispose d’un empattement allongé de 5,8 centimètres pour améliorer la tenue de route. La tenue de route progresse, tout comme les performances. Cette modifications sera généralisée cette même année sur les autres versions

Ceci n’est qu’un rapide aperçu des différentes versions proposées durant les quatre premières années de commercialisation. Peu après, la 911 connaîtra deux augmentations de cylindrée successives, en passant à 2.2 litres en 1970 par modification de l’alésage et même 2.4 litres dès 1972. La version la plus radicale, c’est la légendaire 911 Carrera RS 2.7 litres de 210 chevaux. C’était le Graal d’avoir ce modèle ! Mais ne nous dispersons pas et revenons sur notre superbe Porsche 911 2.0 litres Targa de 1968. Celle-ci dispose de l’empattement allongé de 5,8 centimètres, ce qui profite à la tenue de route. Nous avons aussi le privilège d’avoir une version Targa. Nous aurons l’occasion de revenir sur cet aspect après.

« J’ai toujours rêvé de conduire une Porsche »

Il y a quelques jours, Simon s’est marié. Pour ce bel événement, il fallait naturellement trouver une voiture appropriée, idéalement un cabriolet. Cela a poussé notre ami à parcourir les petites annonces et notamment celles de la plateforme Roadstr.

C’est là qu’il a eu le coup de cœur pour cette 911 Targa de 1968, couleur ivoire, appartenant à Christophe, un authentique passionné qui a pris le temps de lui faire découvrir la voiture. Quand on regarde cette voiture, il est bien difficile de ne pas être émerveillé. Porsche, c’est une marque qui fait rêver petits et grands, qui rassemble et qui fascine. Depuis 60 ans déjà, la marque allemande écrit son présent et imagine son futur tout en entretenant religieusement les préceptes de Ferdinand Porsche. La recette, transmise de génération en génération, est toujours aussi exceptionnelle.

Rendez-vous était donné à Simon ce lundi après-midi, frais mais ensoleillé. Les petits oiseaux, les tracteurs, l’agriculteur en C15 : pas de doute, nous sommes en campagne, le terrain idéal pour prendre du plaisir au volant d’une belle ancienne. La Porsche 911 arrive face à nous, avec la sonorité unique de son 6-cylindres à plat. Difficile de ne pas tomber sous le charme de cette belle ancienne avec ses grands yeux de grenouille.

Passionné par la marque, je trouve rapidement mes repères et reste admiratif face à ce joli monstre d’ingénierie. La ligne, d’une fluidité absolue, rend particulièrement bien avec cette teinte ivoire. Une configuration simple et efficace à la fois. Les jantes Fuchs de 15 pouces ont une teinte chromée uniforme, on découvre les « petits » pare-chocs sans butoirs et, bien sûr, ce bel arceau en acier inoxydable, frappé du logo Targa. Quant à ce postérieur fuyant, je le trouve toujours aussi iconique…

Simon a donc pu récupérer cette belle 911 pour une durée de 5 jours. Il a toujours rêvé de conduire une Porsche alors pourquoi ne pas commencer par l’originale ? En plus, la configuration Targa se pliait parfaitement pour un mariage. C’est un modèle peu courant mais qui a un capital sympathie énorme. Christophe, le propriétaire du modèle veille à entretenir amoureusement sa voiture tout en conservant sa patine d’origine. Alors oui, la carrosserie a quelques défauts et l’intérieur également. Mais il ne faut pas oublier que la belle a tout de même 56 ans. Ces quelques imperfections renforcent aussi son authenticité. Pour ma part, cela ne m’a pas du tout dérangé. Aussi, cette voiture roule dès que possible, Christophe n’est pas le genre de personne à laisser ses voitures prendre la poussière dans le garage…

Opération séduction

Difficile de rester de marbre face à cette ligne. La 911 L que nous avons ici est une espèce rare. La version Targa n’a été produite qu’en 1968 et seulement 300 exemplaires ont été mis en circulation. On retrouve de nombreuses touches de chrome, ce qui est un incontournable dans les années ’60. La ligne, simple mais efficace, joue sur les jeux de lumière.

À l’avant, les grands phares tout ronds sont sublimés par des ailes délicieusement galbées. La petite taille de la 911 de première génération contraste véritablement avec les modèles actuels qui paraissent énormes à côté. Là, tout est à sa place. L’arrière semble assez étroit avec des ailes qui descendent jusqu’aux feux. Sur notre modèle de 1968, la lunette arrière est en verre. Son inclinaison superbe épouse parfaitement celle de l’arceau. Celui-ci, en aluminium brossé, arbore le sigle Targa.

D’ailleurs, les plus observateurs auront aussi remarqué que nous avons les logos dorés à l’arrière. Chaque élément remplit une fonction, tout en offrant un design somptueux. On imagine bien le souci des designers pour aboutir à une telle pureté. Les lignes de la 356 ont été modernisées avec brio. L’empattement rallongé ne choque absolument pas. Cette version s’identifie simplement à ses « trous » juste avant les petites trappes des barres de torsion. Le profil est tout aussi séduisant avec une sensation d’équilibre… Et quelle pureté dans la ligne… Pas d’aileron, pas de feux additionnels, une unique sortie d’échappement : pas besoin de superflu. La 911 Classic préfère un joli minimalisme.

Un intérieur délicieusement vintage

Accédons maintenant à bord de cette Porsche 911 L de 1968. Celle-ci dispose d’un intérieur en cuir noir. La planche de bord comprend naturellement les cinq cadrans, qui permettent de centraliser toute l’instrumentation. C’est relativement sobre dans la présentation tout en renvoyant un sentiment de qualité. On appréciera aussi la présence de ce volant cerclé de bois, qui correspond bien à la voiture. Le cuir est omniprésent, que ce soit au niveau de la sellerie ou des contre-portes. La qualité perçue est bien réelle. Pour démarrer, il faudra bien sûr insérer la clé à gauche et prendre place à bord de jolis sièges. À l’arrière, la place est plus réduite mais les places restent praticables (bien qu’elles n’aient pas de ceintures de sécurité). La luminosité est exceptionnelle dans cette version Targa. Les sièges avant peuvent d’ailleurs basculer très facilement.

Notre version L dispose des pare-soleils mais aussi du cuir étendu, ce qui donne un intérieur très chic. Les revêtements sont soignés et tout tombe bien sous la main. Les touches de chrome sont bien dosées et il y a des jeux de texture. Entre les sièges avant, on remarque également une petite commande rouge. Celle-ci permet d’activer des volets au niveau des conduits d’admission afin d’activer le chauffage à bord. Un système bien pensé, qui confirme bien tout le travail d’ingénierie accompli.

À bord, les kilomètres passent bien trop rapidement. La carrosserie Targa permet de profiter cheveux au vent. Il n’y a bien qu’à l’arrière où l’absence de filets anti-remous devient pénible au-delà des 80 km/h. Mais c’est un bien maigre désagrément par rapport à ce que cette Porsche peut offrir…

Un 6-cylindres à plat de 130 chevaux

Vous l’aviez peut-être oubliée mais Porsche avait commercialisé, en 1965, la 912. Celle-ci avait l’apparence d’une 911 mais reprenait le moteur 4-cylindres de la 356, développant 90 chevaux. Toutes les autres bénéficient d’office du moteur flat-6. Concrètement, c’est un 6-cylindres à plat d’une cylindrée de 2.0 litres. Il est en aluminium, comporte un vilebrequin à sept paliers et deux carburateurs triple corps Weber. La puissance délivrée de 130 chevaux peut faire sourire puisque de nos jours, c’est très commun. Mais pour l’époque, c’était assez remarquable d’autant plus que la 911 L demeure relativement légère puisqu’elle ne pèse que 1 080 kg sur la balance. Mais à côté de ces données techniques, il faut surtout vivre et prendre les commandes de ce modèle pour apprécier ce qui ne se consulte pas sur une fiche technique : les sensations, le plaisir, le feeling…

Il suffit de mettre le contact pour entendre un délicieux son envahir nos oreilles. Le 6-cylindres s’éveille et il tourne superbement rond, signe d’un entretien rigoureux. Pas question de brusquer la voiture. Déjà, ce n’est pas la nôtre et il faut respecter cette vieille dame. Le maniement de la boîte de vitesses est sans doute l’aspect le plus pointu puisque la première n’est pas synchronisée, nécessitant l’arrêt total pour enclencher la première.

D’ailleurs, la grille est inversée, ce qui nécessite un temps d’adaptation. Le réflexe pris, la voiture se conduit aisément. Il faut alors veiller à passer correctement la troisième vitesse. Une manipulation simple de prime abord puisqu’il suffit de « descendre » le levier après avoir débrayé. Mais dans les faits, cette vitesse « craque ».

Un plaisir simple… Et tellement incroyable

Ce qui est génial, avec les modèles plus anciens, c’est que l’on a un ressenti mécanique. Si le maniement de la boîte de vitesses demande un peu de temps, elle se montre communicative et renvoie bien les informations. Par rapport aux modèles actuels souvent très aseptisés, cela fait plaisir de retrouver ces sensations et ce côté « mécanique ». Les accélérations ne vous colleront pas au siège mais ce n’est pas grave, l’essentiel n’est pas là. La noblesse de la mécanique et la superbe sonorité participent pleinement au plaisir de conduite. Stricte propulsion, cette 911 Targa impose une contrainte supplémentaire : son moteur (qui pèse 184 kg) en position arrière. Forcément, cela déleste l’avant. Pour prendre un virage dynamiquement, il faut donc freiner suffisamment pour transférer un maximum de poids à l’avant, ce qui renforce la motricité. Loin d’être inconfortable, cette belle 911 procure un vrai plaisir.

Nous n’avons pas pu tester de 911 avec l’empattement court. On ne pourra donc pas juger l’intérêt de cet allongement. Malgré cela, l’ergonomie est excellente, tout tombe sous la main et on prend plaisir à rouler. Pas besoin d’aller vite, cette 911 L de 1968 s’apprécie à un rythme de croisière. Le toit se plie et se déplie à la main. Il peut alors être rangé dans le coffre avant. Ce dernier est d’ailleurs plutôt spacieux même s’il est préférable de voyager léger !

La tenue de route se montre bonne et sécurisante à condition de respecter la mécanique et de ne pas chercher à outrepasser les lois de la physique. D’autant plus que, vous l’aurez deviné, les aides à la conduite sont absentes. On ne s’étendra pas non plus sur la consommation (qui tourne autour des 12,0 litres aux 100 kilomètres) et d’autres considérations « écologiques » contemporaines. Le freinage, assuré par quatre disques ventilés, est tout aussi satisfaisant. Tout semble avoir été conçu pour durer. D’ailleurs, plus de 70 % des Porsche 911 produites à ce jour sont toujours en circulation.

Un marché épouvantable…

Acheter une « vieille » Porsche d’occasion est une expérience compliquée. Le marché est cancerisé par de nombreux spéculateurs mais aussi par un culte presque maladif pour certaines configurations et par certains aspects, comme le matching numbers. En soi, ce n’est pas une mauvaise chose que de vouloir préserver l’état d’origine d’une voiture, à la condition qu’elle conserve sa fonction première : celle de rouler. Et malheureusement, bon nombre de 911 de ces années-là passent leur vie à dormir dans des garages avec, parfois, une sortie annuelle mais pas trop loin pour éviter d’ajouter des kilomètres qui abaisseraient la cote. Car si la Porsche 911 originelle est un bijou, elle est aujourd’hui hors de prix. Un exemplaire tel que nous avons ici coûte – au bas mot – dans les 150 000 €. Et puisqu’elle est dans son état d’origine, peut-être bien plus encore…

Alors que son propriétaire pourrait la faire dormir dans un garage chauffé pour atteindre l’envolée des cotes, il en profite au maximum et la propose aussi en location, pour des passionnés. J’ai énormément de respect pour cette démarche. Comme le dit Simon, la passion, ça se partage ! Un immense merci à lui de nous avoir permis de découvrir cette 911 L Targa, un modèle qui m’a toujours fait rêver et dont nous gardons de superbes souvenirs.

Avec le recul, j’ai toujours une préférence pour la génération de 911 suivante (la fameuse Série G) mais je comprends mieux l’ADN de la 911. Une machine extrêmement polyvalente, aboutie, superbement dessinée, mélodieuse et axée sur le plaisir de conduite. Un plaisir simple qui se monnaie aujourd’hui au prix fort. Et c’est plutôt triste car bon nombre de passionnés de la 911 s’orientent vers des générations plus faciles en raison de la cote stratosphérique de cette première génération.

Le mot de la fin ?

Je vais vous épargner le discours du « c’était mieux avant » car les 911 actuelles sont des voitures fabuleuses, factuellement supérieures en tout point aux modèles précédents. Pour autant, cette Porsche 911 L Targa de 1968 est capable d’offrir un plaisir de conduite incroyable et terriblement authentique. Forcément, si vous achetez un exemplaire qui n’a jamais été restauré, vous devrez peut-être faire face à de la corrosion, un entretien complexe et des pièces détachées coûteuses. Mais l’investissement en vaut sans doute la peine même s’il est psychologiquement compliqué de mettre une telle somme dans cette voiture, aussi exceptionnelle soit-elle.

Pour terminer, je tiens une nouvelle fois à remercier Simon pour cet essai mémorable où l’on prend le temps d’apprécier la voiture pour ce qu’elle est et non pas pour ce qu’elle est capable de faire. Depuis plus de 60 ans déjà, Porsche entretient avec brio ce qu’est une 911 : un coupé sportif et polyvalent à la fois, qui cultive une ligne et un moteur iconique. Bravo et merci également à Christophe, qui permet aux passionnés de prendre le volant d’un joyau que bien peu d’entre nous pourraient se permettre désormais. Il reste d’authentiques passionnés sur cette terre, merci à eux !

Thomas Drouart

J'ai fondé PDLV à 13 ans, c'était il y a... Pas mal de temps déjà ! Ma passion pour l'automobile n'a fait que s'intensifier. Depuis, ce blog a prospéré et nous permet de vivre notre passion à 100%. Mon pêché mignon ? Les Fiat Panda 100HP, les Porsche 911 type G et les brochettes bœuf-fromage. Je m'intéresse à tout ce qui roule, même si mon allergie au diesel me rapproche bien souvent du pistolet vert.

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