Peugeot 308 SW : notre essai complet de la version Hybrid 195

Il y a quelques semaines, nous nous sommes envolés au Portugal avec un objectif : participer aux essais internationaux de la Peugeot 308 restylée. Fraichement remise au goût du jour, la compacte de la marque au lion revient avec une face avant largement modernisée et une toute nouvelle motorisation hybride rechargeable. Les promesses ? Une puissance de 195 chevaux, une autonomie de 85 kilomètres en mode 100 % électrique et un réel plaisir de conduite. Nous avons fait le choix d’une version break SW équipée de ce nouveau moteur et du joli rouge Elixir, dont on ne se lasse pas…

Fiche technique de la Peugeot 308 SW PHEV 195

La Peugeot 308 change de visage

Le 26 août 2025, Peugeot a officialisé le restylage de la 308. Commercialisée depuis 2021, cette jolie compacte était restée très moderne dans sa présentation. Elle était d’ailleurs la compacte la plus vendue dans l’hexagone, malgré une réputation quelque peu ternie par la fiabilité d’un certain moteur essence. Ce restylage remplit plusieurs missions : intégrer les nouveaux codes stylistiques de la marque, offrir un nouveau souffle à la 308 et améliorer encore le bilan carbone en apportant des moteurs plus efficients.

Une simple vue avant de la Peugeot 308 restylée permet d’apprécier (presque) l’intégralité de cette mise à jour. La construction de cette face a été totalement repensée pour mieux s’intégrer au sein d’une gamme en plein renouvellement. Désormais, les phares Full LED sont dissimulés au sein d’écopes, sur les côtés du bouclier. Les feux de jour sont placés en position haute et intègrent la triple griffe à LED. Visuellement, ces traits sont prolongés au niveau de la calandre. Le tout converge autour du logo, désormais illuminé, qui dissimule habillement les radars. C’est moderne tout en apportant de l’identité à la 308.

Une uniformisation totale de la gamme

La Peugeot 308 restylée adopte aussi un nouveau bouclier avant, plus nervuré, donnant un côté plus musclé à la compacte. Le capot bossé est conservé… Tout comme la totalité des autres panneaux de carrosserie. En effet, la marque au lion a choisi d’adopter une approche rationnelle pour cette mise à jour. Les différences esthétiques entre les finitions sont gommées : finies les optiques avant affinées ou encore les feux spécifiques de la finition GT… Désormais, toute la gamme adopte le même faciès. Les finitions hautes GT et GT Exclusives conservent un atout majeur : l’illumination du logo et de la partie supérieure de la calandre.

Côté couleur, la Peugeot 308 berline s’habille désormais du bleu Lagoa, aux reflets intéressants. Le break SW perd le bleu Avatar et le remplace de série par le bleu Ingaro (déjà présent sur les SUV 3008 et 5008). On découvre aussi de nouvelles jantes avec notamment le modèle Helsinki, en 18 pouces, qui équipe notre exemplaire d’essai. De profil, rien ne change et à l’arrière, on observera seulement la généralisation de série des feux de la première phase, en finition GT. Le dessin du pare-chocs arrière, avec ses catadioptres bien visibles, demeure. Les canules d’échappement passent en noir brillant pour mieux se fondre dans le décor.

Pourquoi changer une recette qui marche ?

La Peugeot 308 se vendait encore relativement bien. Elle figure d’ailleurs toujours dans le top 20 des voitures les plus vendues en France ! La marque au lion assume donc pleinement avoir fait le choix de l’évolution plutôt que celui de la révolution. Ces quelques apports, et surtout ce redessin complet de la face avant, offre un second souffle à la compacte, qui entame sereinement la seconde partie de sa carrière. C’est aussi l’occasion de faire évoluer l’offre de motorisations, désormais axée autour de l’électrification… Même si le retour du moteur Diesel est revenu au catalogue il y a quelques jours.

On retrouve donc les deux mêmes carrosseries au choix et les mêmes dimensions, à savoir 4,36 mètres de long pour la berline et 4,64 mètres pour le break SW. Lors des événements presse organisés par la marque au lion, nous avions le choix parmi toutes les versions possibles. Notre choix s’est porté sur la version SW, équipée du nouveau moteur Plug-In Hybrid de 195 chevaux… Pour la couleur, si le bleu Ingaro constitue la vraie nouveauté colorée du break, c’est une teinte que nous connaissons déjà. Le soleil éclatant de Porto nous a fait choisir le rouge Elixir pour ses beaux reflets !

6 couleurs de carrosserie au choix

Visuel	Couleur	Prix
	Bleu Ingaro M07K teinte métallisée	De série
	Gris Artense M0F4 teinte métallisée	900 €
	Gris Selenium M0LD teinte métallisée	900 €
	Noir Perla Nera M09V teinte métallisée	900 €
	Blanc Okénite M0SU teinte métallisée	900 €
	Rouge Elixir M5VH peinture spéciale	1 100 €

Les Peugeot 308 berline et SW disposent d’une palette colorée similaire à une différence près : leur couleur signature. De série, la berline est proposée avec le joli bleu Lagoa, aux reflets turquoise. La SW reçoit d’office le bleu Ingaro (inauguré sur le 3008). Notons que la finition Style dispose d’une palette réduite à quatre couleurs seulement. Il n’a donc pas été facile de faire notre choix de coloris. Le rouge Elixir est d’ailleurs la teinte la plus onéreuse du catalogue, puisqu’elle prend la forme d’une option à 1 100 €.

L’intérieur de la Peugeot 308 restylée

À l’intérieur, il faut un œil bien exercé pour identifier la version restylée de la Peugeot 308. Les équipes ont retravaillé subtilement quelques éléments en partant d’un constat : puisque l’intérieur avait bien vieilli, pourquoi le changer ? On remarque bien quelques apports, notamment au niveau de l’instrumentation, avec de nouveaux graphismes d’instrumentation. En revanche, la gamme de finitions évolue avec une dotation malheureusement revue à baisse. Par exemple, les raccourcis numériques i-Toggles sont disponibles de série à partir de la finition GT. Sur toutes les finitions, le rétroviseur central récupère aussi un encadrement « à l’ancienne ». De petites économies que l’on regrette…

Notre finition GT Exclusive offre tout ce que l’on peut attendre d’une compacte moderne : une sellerie en Alcantara exclusive avec les sièges chauffants et massants, la conduite semi-autonome de niveau 2, la surveillance des angles morts, l’éclairage d’ambiance, le démarrage mains-libres ou le volant en cuir. On retrouve naturellement le petit volant ergonomique, l’instrumentation numérique i-Cockpit de 10 pouces et un écran central de 10 pouces également. L’affichage 3D est offert de série sur la finition haute GT Exclusive, en option sur GT. Les ajustements sont plutôt réussis dans l’ensemble, l’ergonomie est bonne et le choix des matériaux est toujours aussi convaincant. On se sent bien à bord !

Notre version SW et son empattement allongé de six centimètres offre davantage d’espace aux jambes à l’arrière. L’habitabilité est assez bonne, avec une assise confortable à l’avant comme à l’arrière. On retrouve une banquette rabattable en trois-parties. La garde-au-toit est correcte et la visibilité est agréable, surtout avec le toit panoramique optionnel (Pack Sensation à 1 800 €). C’est à l’avant que l’on est le mieux installé. Le conducteur dispose d’un siège AGR Comfort ergonomique, entièrement réglable électriquement. On trouve assez vite la bonne position de conduite. Fait sympa : on retrouve la double surpiqûre blanche et verte, qui rappelle l’univers PSE (qui n’existe plus) mais qui est propre à la finition GT.

Le volume de coffre de la Peugeot 308 SW restylée varie surtout en fonction de la motorisation. La version hybride-rechargeable que nous avons est la moins capacitaire avec « seulement » 467 litres. Les motorisations Hybrid 145 et Diesel s’en sortent mieux avec un volume allant jusqu’à 552 litres sans même rabattre la banquette arrière.

Une sellerie toujours aussi savoureuse… En option sur la finition GT et de série sur GT Exclusive, la sellerie Alcantara Executive fait vraiment la différence. Elle apporte le réglage automatique du siège conducteur, de beaux revêtements et des surpiqûres jaunes… Malheureusement, il n’y a plus de sellerie colorée au catalogue.

Un nouveau moteur hybride-rechargeable

Si l’on excepte le moteur diesel 1.5 BlueHDi de 130 chevaux fraichement revenu au catalogue, la Peugeot 308 n’est disponible qu’avec des motorisations électrifiées. La e-308 conserve sa puissance de 156 chevaux mais elle s’offre une nouvelle batterie permettant une autonomie allant jusqu’à 450 kilomètres. Le moteur Hybrid de 145 chevaux constitue toujours l’entrée de gamme. Enfin, le moteur Plug-In Hybrid de 195 chevaux est totalement nouveau de conception. Il remplace les deux précédentes versions hybrides-rechargeables de 180 et 225 chevaux. Pour le rendre encore plus efficient, la marque au lion a revu sa technologie.

Côté thermique, on retrouve le moteur 4-cylindres turbo PureTech de 1.6 litre qui développe 150 chevaux. Il est désormais associé à un moteur électrique plus puissant capable de délivrer jusqu’à 125 chevaux (contre 110 jusqu’à présent). La puissance maximale cumulée atteint alors 195 chevaux pour 360 Nm de couple. Aussi, la boîte de vitesses automatique EAT à 8 rapports cède sa place à la nouvelle boîte de vitesses maison e-DCS7. Celle-ci perd donc un rapport mais elle profite d’une nouvelle batterie de 14,6 kWh (contre 11,3 kWh) et favorise le roulage électrique. Conséquence immédiate : l’autonomie électrique grimpe de 59 à 85 kilomètres.

La Peugeot 308 hybride 195 sur la route !

7 h 00 tapantes, le réveil sonne. Petit déjeuner vite avalé et on se dirige vers les Peugeot 308 restylées mises à disposition par Peugeot, pour les médias présents. Parmi toutes les configurations disponibles, nous avons opté pour un joli break rouge, équipé du nouveau moteur PHEV de 195 chevaux. La Peugeot 308, c’est une voiture que l’on connaît très bien. Nous étions donc assez impatient de tester cette nouvelle motorisation. Sur le papier, le 0 à 100 km/h est donné pour 7,6 secondes. C’est seulement un dixième de plus que la précédente version de 225 chevaux.

Si l’assise est confortable et ergonomique, la problématique est toujours de bien régler le volant, sous peine qu’il n’obstrue la vue sur l’instrumentation. Chaque démarrage s’effectue en mode Hybrid, ce qui permet d’effectuer les démarrages en mode 100 % électrique et d’apporter l’appui du thermique dès que nécessaire pour préserver l’autonomie électrique tout en veillant à réduire la consommation. Ce mode de conduite est la bonne alchimie. Il évite les montées dans les tours inutiles et séduit par sa souplesse. La bascule d’un mode à l’autre est presque imperceptible.

Cette nouvelle boîte automatique à 7 rapports lisse bien les passages de rapport. Son étagement est meilleur en évitant les rétrogradages parfois excessifs que nous avions sur la précédente EAT8. La conduite est plus souple tout en maximisant le roulage en mode 100 % électrique. Cela se ressent assez vite sur la consommation… Mais on garde un très bon agrément de conduite !

Il est aussi possible de passer en mode Electric. Dans ce cas, le moteur électrique de 125 chevaux est le seul à passer la puissance aux roues. L’autonomie annoncée de 85 kilomètres est vraiment convaincante. En ville, vous pourrez même aller au-delà. On regrettera juste l’absence de charge rapide. Le chargeur 7,4 kW fourni sur GT et GT Exclusive permet de restaurer la charge en 2 heures et 5 minutes. Comptez 7h25 depuis une prise domestique.

Du poids… et de la puissance !

Sans trop de surprise, on trouve le bon feeling de la Peugeot 308. La boîte de vitesses e-DCS7 est nouvelle de conception et elle s’accommode vraiment bien à notre break. On retrouve une direction agréable, précise avec toujours ce petit volant ergonomique. Les vitesses passent de manière fluide et logique, ce qui nous incite rapidement à vouloir tester le mode Sport. Là, le moteur thermique se met en éveil. Il s’agit du « bon vieux » 1.6 litre PureTech de 150 chevaux. Ce moteur 4-cylindres ne souffre pas de reproches particuliers en termes de fiabilité. Il est assez agréable, coupleux et accepte parfaitement l’électrification. Si on attaque un peu « fort », on remarque un petit temps de latence dans les passages de boîte : la gestion de boîte est parfois un peu à la peine.

Derrière le volant, on trouve bien sûr des palettes, destinées à passer les rapports manuellement. L’ensemble manque pourtant de fluidité et c’est dommage… Côté performances, le 0 à 100 km/h en 7,6 secondes est tout à fait honorable. Notre Peugeot 308 SW a « la patate » et permet de prendre du plaisir. Toutefois, il y a un problème de poids (littéralement). Avec 1 750 kg sur la balance, notre break n’échappe pas au lois de la gravité. La masse arrière se fait bien sentir, malgré un comportement relativement sain. Au volant, pas de bruit parasite ni même de sifflement parasite. Seule la pédale de frein donne un ressenti un peu spongieux. Heureusement, on peut choisir plusieurs niveaux de force de régénération pour compenser.

La puissance suffit amplement pour le quotidien. Cette meilleure calibration de la boîte de vitesses profite vraiment au conducteur. À moins d’avoir une conduite vraiment très sportive, ce qui peut entrainer des montées inutiles dans les tours, vous ne verrez que des avantages à cette nouvelle motorisation qui s’accommode parfaitement aux trajets du quotidien.

Une consommation réelle acceptable

Côté suspensions, c’est assez ferme mais bien géré. On ne souffre pas particulièrement sur les dos-d’âne. Les bruits d’air sont aussi maîtrisés, à la condition d’opter – au minimum – pour la finition GT qui apporte les vitres avant feuilletées, ce qui gomme les bruits parasites. Sans être sportive, la Peugeot 308 Plug-In Hybrid de 195 chevaux se montre comme un bon compromis. Le mode Electric est aussi intéressant, avec une puissance de 125 chevaux et une consommation maîtrisée. En mixant les deux énergies et en ayant le pied pas trop lourd, on peut descendre sous la barre des 5,0 litres aux 100 kilomètres. En mode 100 % électrique, on tourne autour des 16 à 17 kWh aux 100 kilomètres : ça va.

Le toucher de route habituel chez Peugeot est toujours bien présent. Ce nouveau moteur hybride-rechargeable est donc tout à fait recommandable. Il n’est pas nécessairement plus économique à l’usage que les deux précédents mais il en reprend tous les atouts, en améliorant même un peu les performances. Comme d’habitude, on retrouve une instrumentation assez explicite, qui indique bien les phases d’accélération, celles qui vont augmenter un peu la consommation et les cycles de recharge de la batterie, lors des décélérations ou freinage. Tout est assez intuitif et simple d’utilisation.

On accède aussi à l’autonomie restante en électrique comme en thermique. On notera aussi la présence d’un mode e-Save. Le principe ? Pour recharger plus rapidement la batterie électrique, le moteur thermique « force », ce qui a pour conséquence d’augmenter assez fortement la consommation d’essence. On cherche encore l’intérêt réel de cette fonctionnalité… Enfin, la finition GT Exclusive apporte une pompe à chaleur de série à la version électrique. Celle-ci permet de porter la batterie à la température idéale pour augmenter sa vitesse de recharge.

À qui s’adresse cette motorisation ?

La Peugeot 308 restylée laisse donc le choix parmi trois motorisations électrifiées, ce qui complexifie le choix. Le moteur Hybrid 145 est un bon compromis mais sa puissance reste assez limitée et il est difficile de descendre en-dessous des 6,0 litres aux 100 kilomètres. La version électrique est aboutie mais elle ne convient pas à tous les usages… Entre les deux, cette nouvelle motorisation Hybride-rechargeable de 195 chevaux a de l’intérêt. En cumulant thermique et électrique, vous profitez du meilleur des deux énergies, au détriment d’un poids en hausse et d’un positionnement tarifaire supérieur d’environ 7 000 € par rapport à la version Hybrid et de quelques centaines d’euros par rapport au modèle électrique.

L’intérêt de cette motorisation, c’est d’exploiter au maximum la partie électrique ; la voiture a été conçue en ce sens. Par rapport aux précédents moteurs PHEV, l’électrique est davantage sollicitée et l’autonomie progresse à 85 kilomètres tout de même. Le gain de puissance électrique permet aussi d’assurer plus facilement des déplacements uniquement avec cette énergie.

L’idée ? Vous roulez au quotidien en électrique ou en hybride. Le soir, vous branchez votre 308 Plug-In sur votre prise électrique et la batterie est pleine le lendemain matin. Cette technologie se plie à tous les usages… À la condition de recharger régulièrement la batterie. Sans cela, la consommation grimpera vite et vous perdrez l’intérêt financier à l’usage. Une Peugeot 308 hybride-rechargeable bien exploitée peut approcher des 2,0 litres aux 100 kilomètres de consommation. Dans les faits, une conduite un peu plus vive demandera le double… Mais cela reste acceptable.

Équipements de série

Quatre niveaux de finitions sont proposés sur la Peugeot 308 restylée, tant pour la version berline que pour le break SW. Notons que la motorisation Plug-In Hybrid n’est pas disponible avec la finition d’entrée de gamme Style. Notre tableau débute ainsi avec la finition Allure.

Grille tarifaire de la Peugeot 308 restylée

Ci-dessous, vous trouverez la grille tarifaire appliquée au lancement de la Peugeot 308 restylée, pour la berline et pour le break SW. On remarquera une particularité concernant la version électrique puisque les deux carrosseries sont affichées strictement au même prix !

Le mot de la fin

La Peugeot 308 de troisième génération, on la connaît déjà très bien. Cette nouvelle motorisation tient ses promesses et progresse à tous les niveaux. On pourrait regretter la disparition du précédent bloc de 225 chevaux… Mais les performances sont très similaires et on récupère une boîte de vitesses encore plus agréable. Pour moi, le pari est remporté. Maintenant, il faudra voir si les clients se laissent tenter par cette motorisation qui, malheureusement, est tout de même assez onéreuse. Le surcoût de plus de 7 000 € par rapport à l’hybride « simple » ne se justifiera pas pour tout le monde.

Notre avis sur ce modèle

7.3 out of 10

Ce nouveau moteur hybride-rechargeable est une vraie réussite. Il est polyvalent, agréable à rouler et se montre économique à l’usage. L’augmentation de l’autonomie électrique et la nouvelle boîte rendent cet ensemble vraiment attrayant, malgré un prix assez élevé.

Extérieur

8 out of 10

Feeling

7 out of 10

Intérieur

7 out of 10

Rapport qualité/prix

7 out of 10

Points positifs

Hybridation souple et agréable

Autonomie électrique

Consommation maîtrisée

Points négatifs

Finitions déséquilibrées

Masse élevée

Pas de redessin du pare-chocs arrière