
10 rues d’autrefois transformées comme aujourd’hui…
Si vous nous suivez depuis longtemps sur PDLV, vous savez qu’il ne faut pas toujours chercher de sens dans toutes nos publications. Aujourd’hui, je vous propose de remonter le temps… Revenons un bon siècle en arrière et voyons à quoi pourrait ressembler dix photos d’époque si on y ajoutait la signalisation routière actuelle. Des photos qui évoluent donc plus ou moins fortement et qui démontrent bien la place prise par l’automobile ces dernières décennies mais aussi le développement des infrastructures qui ont poussé aussi vite que des champignons dans la cave de votre voisin. Balancez les curseurs de gauche à droite pour découvrir le avant et le après.
Imaginez une Tesla au siècle dernier


Commençons par cette vue de Paris, à l’époque où l’automobile n’existait pas encore. Transposons cela avec des places dédiées aux voitures électriques avec bornes de recharge. Cela rappelle notamment qu’au début du XXème siècle, la voiture électrique existait déjà mais qu’elle fut progressivement mise de côté au profit des voitures thermiques. Le retour de l’électrique est somme toute assez récent même si les constructeurs ont longtemps imaginé ce retour, comme PSA avec ses Peugeot 106 et Citroën AX.
À l’époque, il n’y avait pas de ralentisseur


Aaaah ces fameux ralentisseurs dont la majorité sont illégaux. À l’époque, ils n’existaient pas mais la qualité des routes était loin d’être aussi bonne que maintenant… Même si bon nombre de rues sont malheureusement mal entretenues et accueillent de nombreux nid de poule. Il faut dire qu’au siècle dernier, les véhicules étaient nettement plus lents qu’aujourd’hui et les ralentisseurs n’auraient pas eu réellement d’intérêt.
Les véhicules envahissent la chaussée !
Poursuivons avec une rue de Saint-Nazaire et imaginons-là si les bus venaient à l’envahir ainsi que les véhicules. Un contraste saisissant qui dérange notamment par le fait que le bus est en symétrie horizontale, faute de mieux pour mon photo-montage.
Présentez vos papiers !


Ah les contrôles de gendarmerie et les radars. Une spécialité française qui s’est implantée partout et qui m’a coûté un second point de permis le mois dernier ! Si les contrôles ont toujours existé, ils se sont fortement intensifiés pour sanctionner la vitesse et les infractions. Sur la photo d’époque, le rendu choque quelque peu, je vous l’accorde.
La fourrière guette !


La question du questionnement est un sujet d’actualité. Dans les grandes villes, les places viennent souvent à manquer, ce qui donne du travail aux fourrières. Sur cette sage photo d’époque, on se demande bien ce que cette belle ancienne a fait de mal.
Le radar pédagogique avant l’heure


De nos jours, la bétonisation est maximale, ce qui réduit les coins de verdure. Cette même rue, habillée de trottoir et d’un radar pédagogique a de quoi surprendre. Après avoir réalisé ce photomontage, j’ai voulu essayé de retrouver ce bâtiment, en l’occurrence une école, afin de voir l’aménagement actuel. Bonne nouvelle : le bâtiment existe toujours et l’aménagement est assez loin de ce que j’avais imaginé alors ! Je vous laisse découvrir l’endroit sur Google Maps !
Circulation alternée !


Les véhicules sont de plus en plus gros et les chemins d’autrefois ne permettent plus sereinement de faire se croiser deux Audi Q5 TDI 140 avec un logo À l’aise Breizh à l’arrière. Dès lors, les mairies mettent parfois des circulations alternées pour ordonner le croisement des véhicules dans les rues étroites. Parfois, c’est aussi pour casser le rythme.
Le passage à niveau


À une époque pas si lointaine, c’était le garde-barrière qui se chargeait de monter et d’abaisser les barrières à l’approche d’un train. Un métier aujourd’hui disparu puisque tout est automatisé. Alors forcément, le contraste est assez incroyable. Finalement, ça avait du charme les garde-barrières…
Prenez le ticket à l’automate


Lorsque j’étais jeune et que nous partions en vacances en famille, j’ai toujours le souvenir des guichetiers au niveau des péages. Cela ajoutait un peu de chaleur humaine même si on imagine que les mois d’été devaient être rudes à bord de ces cabines. Désormais, tout est géré depuis des automates. Je ne sais pas vous, mais à chaque fois que j’arrive à une barrière de péage, je tombe toujours sur la file où il va y avoir un problème… Comme le conducteur de devant qui a fait tomber son ticket sous sa voiture. Vous le connaissez, celui-là ?
Attendez le feu vert !


On termine avec une autre spécialité française : les feux tricolores. Désormais, ils sont partout et permettent d’ordonner la circulation de manière plus équitable. Rien de tout ça n’existait il y a 100 ans. Du moins pas à ma connaissance. N’hésitez pas à me dire ce que vous avez pensé de cet article et si vous souhaitez un numéro 2. Et bonne route !
Bonjour, Pour la photo de Saint-Nazaire, vous avez rajouté deux bus parisiens ! Il y a un bus standard de la ligne 32, et un bus articulé dont on ne voit pas l’avant et que vous avez bien collé de façon à faire croire à un seul bus. Je pense qu’un bus de Saint-Nazaire aurait bien suffi, çà aurait été plus crédible !!! 😉 🙂