
Top 10 des voitures qui finissent souvent très mal…
Fer à cheval dans la calandre, aileron immense, canettes de Kro’ sur la banquette arrière, plancher perforé par la rouille… C’est indéniable, certaines voitures vieillissent particulièrement mal. Parfois, c’est la voiture en elle-même qui pose problème. D’autres fois, c’est la personne derrière le volant. Dans cet article, nous verrons que la vie d’une voiture est rarement un long fleuve tranquille. Pour certaines, la maltraitance commence très rapidement. Dans ce court article, dont l’objectivité reste purement subjective, je vous propose de découvrir 10 voitures qui finissent souvent dans un état assez triste. Bien sûr, il y a des exceptions : tous les propriétaires de Toyota Prius ne font pas leurs courses à Biocoop avec un panier en osier. Et heureusement. Saviez-vous qu’à l’occasion du contrôle technique, la voiture la plus sujette à la contre-visite était le Lada Niva ?
Renault 19 : tout partait pourtant bien…




Lors de sa sortie en 1989, la Renault 19 avait la lourde tâche de remplacer les Renault 9 et 11. Au niveau du design, cette berline marquait un vrai vent de nouveauté. Les lignes sont plus fluides, la palette de motorisations, bien que la plupart soient de conception très ancienne, est cohérente. Et il y a eu la version sportive 16S. Par ailleurs, la Renault 19 a existé en cabriolet, en 3-portes, en 4-portes et en 5-portes. Outre de belles finitions, c’est une voiture dont l’image a rapidement tourné au vinaigre. Aujourd’hui, la plupart des Renault 19 que l’on croise sont négligées ou dans un état de décomposition avancée avec pour objectif de tenir “jusqu’au prochain contrôle technique”. La très forte diffusion de ce modèle (près de 6 millions d’exemplaires en huit ans) fait que la cote est au plus bas. Et si quelques versions collector prendront le chemin de la collection, qui irait s’extasier devant une R19 1.9D et son bruit de tracteur ?
Les Renault 19 que l’on croise sont parfois agrémentées d’un fer à cheval sur la calandre, d’un couvre-dossier avec d’affreuses billes en bois, de déflecteurs de vitres cassés et d’enjoliveurs de roues achetés en centre auto. La différence d’état entre les modèles “collector” et les autres est très impressionnante. Beaucoup sont maintenues en vie tant que bien que mal… Et même si les premières Renault 19 sont éligibles à la collection, elles s’effacent petit à petit du paysage automobile. Trop souvent négligées, les R19 sont vouées à disparaître, ne laissant que les versions les plus rares aux collectionneurs qui sauront les bichonner. Typiquement, c’est la voiture de Jean-Marc, que l’on croise aux abords du PMU.
Qui roule en Renault 19 ? : Les mêmes personnes qui pourraient passer chez Dacia. C’est un déplaçoir à pas cher, qui ne coûte rien ni en assurance, ni entretien.
Opel Calibra : un si joli coupé…




Vendue de 1990 à 1997, l’Opel Calibra avait tout pour plaire. Enfin presque. Certes, il s’agit d’un coupé 4-places sorti à une époque où Opel avait encore le courage de produire autre chose que des voitures banales. La marque allemande a proposé des moteurs à 4 et 6 cylindres, uniquement en essence. Une petite dizaine d’années plus tard, tout est parti en vrille. La forte diffusion de l’Opel Calibra a entrainé une chute vertigineuse des prix, attirant un public redoutable : le jacky tuning. Ces derniers ne se pas fait prier pour saccager les Opel Calibra a coup d’immenses pare-chocs, jantes démesurées, sono et autres appendices esthétiques. On pourrait presque parler de génocide tant il demeure rare de trouver une Opel Calibra d’origine de nos jours.
Aujourd’hui, les Opel Calibra sont particulièrement rares. Les exemplaires les plus massacrés sont aujourd’hui à la casse puisqu’ils ne passent plus le contrôle technique et que la choucroute (mastic) a fini par péter. S’il arrive encore de croiser des exemplaires d’origine à la vente, ces derniers sont rares et la cote remonte très lentement. L’Opel Calibra dispose pourtant de sérieux arguments, comme la possibilité de choisir des moteurs très modestes (2 litres de 115 chevaux) ou plus puissant (V6 de 170 chevaux) et même la transmission : traction ou intégrale. De nos jours, la réputation de l’Opel Calibra est définitivement ruinée… Et c’est bien dommage. Parmi les éléments récurrents, il y a le kit large et l’aileron massif.
Qui roule en Opel Calibra ? : Les fans de tuning, ceux qui veulent un coupé sport et les passionnés d’Opel.
BMW Série 3 E36 : génération sacrifiée




Sans être un fan de voitures allemandes, je dois reconnaître que les BMW Série 3 sont de bonnes voitures. Elles apportent quelque chose en plus par rapport à la concurrence et ont une âme. Seulement, ce sont des voitures très populaires, que l’on croise à tous les coins de rue et que tout le monde peut s’offrir en occasion. Fatalement, beaucoup d’automobilistes achètent de vieilles Série 3 pour pouvoir dire qu’ils roulent “en BM”. Et le problème est bien là… La génération E36, commercialisée de 1990 à 2000 est très représentative de ce phénomène. Pour certains, elle est un objet de pouvoir et constitue le fameux prolongement phallique. Tout est donc bon pour se faire remarquer : bandes Motorsport, pare-chocs M achetés sur AliExpress, jantes réplica achetées sur ebay… Les “préparations” sont souvent assez similaires et manquent cruellement de cohérence d’ensemble. Surtout si on ajoute à cela la ligne d’échappement qui hurle pour bien canaliser l’attention.
Bien sûr, il existe très clairement une véritable communauté de fans de BMW Série 3 et je pense que ces derniers font clairement la distinction entre le vrai passionné et le “kéké”. Aujourd’hui, on trouve encore de très belles BMW Série 3 (E36), entretenues avec soin et préservées dans le pur esprit d’origine ou préparées avec des pièces de qualité. Comment ne pas tomber sous le charme d’une somptueuse 328i ? Malheureusement, sur la route, vous croiserez davantage de 316i rincées qui présentent tout le catalogue mauvais-goût de Wish. Point fort : la cote des beaux exemplaires grimpent en flèche. La fiabilité étant satisfaisante, même des exemplaires rincés continuent de circuler…
Qui roule en BMW Série 3 (E36) ? : Autant de passionnés que de non-passionnés simplement attirés par l’image de marque.
Opel Tigra : les ravages de Fast & Furious




La deuxième Opel de ce top 10 a été commercialisée de 1994 à 2001. Au même titre que l’Opel Calibra, la silhouette coupé a donné des idées à certains. Cette fois encore, c’est le tuning qui a décimé les Opel Tigra de première génération. Au niveau du style, c’est un petit coupé compact sur base d’Opel Corsa B particulièrement bien dessiné. On pourrait lui trouver des traits de japonaise sous certains angles, avec cette lunette arrière incurvée sur les côtés. Si les moteurs sont timides, à savoir des 1.4 litre et 1.6 litre de 90 et 106 chevaux, la petite allemande compense par un poids correct. Saviez-vous que Lotus avait travaillé sur la rigidité de la caisse ? Au début des années 2000, la décote des premiers modèles est forte et en parallèle, l’influence de Fast & Furious donne des idées de grandeur à certains propriétaires d’Opel Tigra. Le tuning à base de kit large condamne rapidement bon nombre d’exemplaires.
Il faut dire que le style de l’Opel Tigra demeure assez fade tout en étant assez audacieux par endroit. Il est assez compréhensible que certains aient eu l’envie d’y ajouter leur touche personnelle. Seulement, les normes de sécurité se sont durcies et bon nombre de modifications lourdes entrainent le déclassement de ces voitures. Les rares Opel Tigra a avoir échappé au phénomène se retrouvent parfois proposées à la vente à des prix plutôt bas. L’équipement tuning récurrent des Opel Tigra : la double sortie d’échappement à gauche ! Aujourd’hui, c’est une voiture que l’on peut trouver d’origine mais aussi – et surtout – en version tuning semi-épave à des prix dérisoires. Dans certains cas, cela peut-être de bonnes bases de restauration. Mais inutile d’espérer spéculer avec une Opel Tigra : cette voiture n’intéresse plus grand monde.
Qui roule en Opel Tigra ? : Les fans d’Opel et ceux qui veulent un petit coupé différent et pas trop cher… Et bien sûr, les fans de tuning.
Honda Civic V : la libre interprétation du JDM




Le style JDM, personne ne connaît vraiment sa définition ou ses codes puisque tout le monde se les approprie. Les Honda Civic de cinquième génération sont particulièrement représentatives de ce phénomène. Vendue de 1991 à 1995 à plus d’un million d’exemplaires, cette Civic a pourtant tout pour plaire, avec un design qui vieillit malgré tout très bien. Elle fut proposée avec une très large palette de motorisations et trois carrosseries : coupé 2-portes, 3-portes ou berline 4-portes. En Europe, on trouve principalement le modèle 3-portes. La technologie VTEC, appliquée sur les plus puissantes motorisations, n’a fait que renforcer l’attrait des Civic. Essentiellement, ce sont des passionnés qui roulent en Honda Civic. Beaucoup réalisent des préparations, parfois très poussées dessus.
Seulement, certaines modifications sont irréversibles et elles ont clairement ruiné la cote de certaines Honda Civic. Ajoutons à cela une forte sensibilité à la rouille : il n’en fallait pas moins pour que la population des Honda Civic de cinquième génération soit fortement réduite. Aujourd’hui, la cote demeure assez élevée mais l’écart se creuse massivement entre les voitures “tunées” et celles qui restent d’origine ou avec une préparation de bon goût. Parmi les modifications les plus courantes, il y a la ligne d’échappement avec une sortie sponsorisée par William Saurin, les stickers à foison et les suspensions rabaissées. Heureusement, certains passionnés sauvent des exemplaires condamnés…
Qui roule en Honda Civic V ? : Majoritairement des passionnés.
Fiat Panda 1 : rouille qui peut…




La Fiat Panda de première génération a connu une carrière à rallonge puisqu’elle fut commercialisée sans discontinuer de 1980 à 2003. Une durée de production très rare qui a conduit à la mise en circulation de plus de cinq millions d’exemplaires. Sur le papier, elle a tout pour plaire cette petite citadine italienne. Elle dispose par ailleurs d’un fort capital sympathie et profite d’un argument de taille : un prix dérisoire sur le marché de l’occasion. Cela s’explique par une image assez archaïque, une dotation très pauvre et un niveau de sécurité très bas. Malgré tout, les propriétaires apprécient le coût d’entretien ridicule, le faible montant d’assurance et la possibilité de choisir la version 4×4 qui elle, cote nettement plus ! Seulement, la réputation des Fiat de cette époque n’est pas usurpée sur un point : la forte tendance à la rouille.
Quand on cherche une voiture d’occasion pas chère, on tombe forcément des Fiat Panda 1 mais une bonne partie d’entre elles sont destinées à la vente en pièces. Un triste constat des conséquences de la rouille qui rend impossible d’obtention du contrôle technique. Et si toutes les Panda ne sont pas logées à la même enseigne, la rouille a largement décimé la population des Panda 1. Ce sont des voitures généralement laissées dans leur état d’origine, entretenues à peu près correctement et qui sont détenues par deux publics bien distincts : d’un côté les passionnés de Fiat Panda qui ont bien compris le futur aspect collector et de l’autre, ceux qui cherchaient la voiture la moins chère possible. Des passionnés se sont heureusement mis en mission de préserver des Panda 1.
Qui roule en Fiat Panda 1 ? : Essentiellement des passionnés… Et une bonne partie de personnes qui cherchent une voiture pour aller d’un point A à un point B, sans coûter trop cher.
Mercedes Classe S (W220) : acheter d’abord, réfléchir ensuite…




Avant toute chose, la Mercedes Classe S, toutes générations confondues, est une voiture incroyable. C’est certainement l’une des meilleures routières de son temps. Ceux qui achètent une Classe S savent exactement pourquoi ils ont choisi ce modèle. Niveau technologie, Mercedes a toujours mis le paquet sur son fleuron. Ce sont des voitures qui étaient vendues à des prix élevées et qui font face à une décote extrêmement forte. En dix ans, il n’est pas rare que la cote soit divisée par dix par rapport au prix de vente originel. Alors forcément, beaucoup de personnes achètent des Mercedes Classe S en voyant seulement le prix à l’achat. Sauf que dès la carte grise, ça pique. Et la moindre panne mécanique ou électronique se chiffre en milliers d’euros (j’exagère à peine). En conséquence, le marché est inondé de Classe S en panne car leurs propriétaires n’ont pas les finances pour les entretenir. Paradoxalement, il n’est pas rare de trouver de grandes jantes ou des optiques à LED sur ces mêmes voitures.
La Mercedes Classe S type W220, commercialisée de 1998 à 2005, est particulièrement représentative de ce phénomène. La ligne est incroyablement réussie et il est vrai qu’il est très tentant d’acheter cette voiture au prix d’une citadine ! En effet, on trouve des Classe S dès 2 000 €. Souvent, il y a un problème avec la suspension pneumatique ! Ces voitures passent alors de main en main, chacun pensant avoir fait l’affaire du siècle et avec la conviction de détenir un fleuron de l’automobile. Et au final, ces Classe S finissent tristement leur vie en casse. Les exemplaires roulants sont généralement – quant à eux – entretenus correctement, en tenant compte qu’une voiture premium coûtera forcément plus cher à l’usage qu’une voiture classique.
Qui roule en Mercedes Classe S ? : Les passionnés du modèle, ceux qui cherchent une routière grand luxe et les autres qui achètent l’image de la Mercedes Classe S plus qu’une voiture réellement roulante.
Suzuki Baleno I : un p’tit tour et s’en va…




La première génération de Suzuki Baleno a été commercialisée de 1995 à 2002. Comme la plupart des Suzuki de cette époque, son design est relativement banal et sans audace. Pourtant, elle demeure une voiture tout à fait recommandable et plutôt fiable. Elle fut proposée en version 3-portes, berline 4-portes et break. Et malgré des chiffres de vente assez bas, c’est un modèle qui a presque intégralement disparu de la circulation. Cette fois, c’est clairement le déficit d’images qui est en cause. La Suzuki Baleno est totalement méconnue et la seconde génération, commercialisée de 2016 à 2020, n’a pas laissé un souvenir impérissable. La première Baleno s’échangeait à des prix extrêmement bas et bien souvent, les propriétaires ont préféré mettre leur Baleno à la casse plutôt que de faire des frais sur une voiture qui, de toute manière, n’a pas une grande valeur sur le marché puisque personne ne la connait.
Malgré une finition médiocre dans l’habitacle, la Suzuki Baleno est pourtant félicitée pour son endurance, son coût d’entretien modique grâce à quelques pièces communes avec le groupe PSA ou encore l’habitabilité et la capacité de chargement. Comme beaucoup de voitures, l’image de marque très effacée de Suzuki n’aide pas. De nos jours, on croise très rarement des Suzuki Baleno. Et quand c’est le cas, on n’y fait que trop rarement attention en raison du design timide. Le plus dingue ? La Suzuki Baleno GTI a existé, avec un moteur 1.8 16V de 121 chevaux. Les performances sont malheureusement assez faiblardes par rapport à la concurrence. Sans image, beaucoup de voitures disparaissent dans l’indifférence générale.
Qui roule en Suzuki Baleno ? : Très peu de personnes !
Porsche Cayenne : le SUV de tous les vices…




Décrié lors de sa sortie en 2002, le Porsche Cayenne a pourtant été un immense succès. Il fut d’ailleurs le modèle le plus vendu de la marque, et de loin. On distingue deux versions. Le Cayenne 955 qui fut produit de 2002 à 2007 puis le Cayenne 957, jusqu’en 2010. Seules des versions essence ont été proposées, à 6 ou 8-cylindres, avec ou sans suralimentation. Sur les derniers millésimes, une version Diesel fut même au catalogue. Seulement, le Cayenne a connu une décote terrifiante. Comme je l’explique dans mon guide d’achat pour un Porsche Cayenne à moins de 10 000 €, ce sont des SUV qui nécessitent un entretien méticuleux. La moindre panne coûte très cher… Et malheureusement, le Porsche Cayenne n’est pas exempt de reproches.
Au même titre que la Mercedes Classe S, certains achètent l’image du Porsche Cayenne avant le gros SUV à moteur essence qui va avec. Il en découle des voitures parfois entretenues faiblement et qui finissent immobilisées, avec l’impossibilité de revendre ni même de réparer. La cote des Porsche Cayenne continue son inlassable baisse mais les beaux exemplaires demeurent toujours stables, accessibles parfois dès 8 000 €. Là encore, il convient d’étudier lourdement un exemplaire avant de procéder à l’achat. Malgré tout, le Porsche Cayenne demeure un SUV assez incroyable, qui s’inscrit pleinement dans la philosophie Porsche, avec un plaisir de conduite rare dans la catégorie. Ces véhicules passent souvent de mains en mains, jusqu’à une grosse panne immobilisante.
Qui roule en Porsche Cayenne ? : Principalement des fans, des familles et des personnes qui veulent “rouler en Porsche”.
Renault Laguna 2 : la pire voiture du monde ?




Si je n’ai absolument aucune rancœur envers Renault, il faut bien reconnaître que la Renault Laguna de seconde génération est une sacrée merde. La marque au losange a mis énormément de bonne volonté et sur le papier, elle a tout pour plaire. Le design est purement subjectif, mais cette berline affiche un intérieur assez moderne pour l’époque. C’est la première voiture au monde à décrocher les cinq étoiles au crash-test. Malheureusement, vous avez sans doute eu des échos détestables sur cette voiture. La Laguna II est arrivée au pire moment : celui où les français se sont mis à acheter des diesel, en masse, sans réfléchir. Fatalement, le 1.9 dCi 120 chevaux a été largement diffusé puisqu’il constituait un bon milieu de gamme. Cependant, ce moteur a cumulé les problèmes de fiabilité. Le bilan est terrifiant. Pour ne rien arranger, l’électronique a posé bien des problèmes…
Moteur, turbo, boîte de vitesses… Rien ne va sur cette voiture. Si certains exemplaires vieillissent miraculeusement bien, les Laguna 2 rentrent en casse à la chaîne ou finissent sur les sites de petites annonces à des prix dérisoires. Bien entretenue ou non, la Laguna 2 est une voiture particulièrement ingrate… Heureusement, le restylage de 2005 a largement amélioré la fiabilité. À l’inverse, le 1.9 dCi 130 chevaux demeure tout à fait recommandable. Ceux qui ont fait le choix de la Renault Laguna 2 phase 1 le regrette généralement…
Qui roule en Renault Laguna 2 ? : Encore pas mal de personnes !
Quel bilan tirer de cet article ?
Aucun. Il s’agit bien sûr de généralités et il serait dommage de stigmatiser les propriétaires de ces voitures. Toutefois, il y a quand même des tendances qui se dégagent qui sont bien réelles. Soyez attentifs sur la route et vous aurez un aperçu bien réel de certaines choses. En attendant, les 10 voitures de cet article sont tout à fait recommandables et constituent de bons achats dès lors qu’elles sont entretenues. Enfin, sauf la Renault Laguna 2 phase 1, bien sûr.